CHAPITRE 2 : FUITE MOUVEMENTEE, DIRECTION RIVEBOIS
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Roger : Toute la musique que que j’aimeeeee, ….
Sombrage, Ralof, tu devrais cesser de te frapper la tête contre le mur, tu commencer à trouer la pierre.
Ralof : Faites le taire pitié.
Sombrage : Bon, résumons la situation, on est à Helgen, entouré d’impériaux, pris au piège par un dragon et comble du comble, on s’est déniché un hurluberlu qui chante à tue tête du Johnny Hallyday depuis bientôt 3H00. Enfin il y a toujours pire non ?
Roger : OH LES COPAINS ! Z’AVEZ VU ? J’ARRIVE A ME LECHER LES ORTEILS !
Ralof : Ca pourrais être pire tu dis ? En es tu vraiment sur…
Impérial : Rendez-vous, vous êtes cernés !
Ralof : Allez-y tuez nous, si vous ne le faites pas, d’abord j’éclate le crâne de l’autre idiot avant de me pendre, donc n’hésitez pas.
Sombrage : On se défendrait bien quand même un minimum non ? Après tout on s’échappe, on abandonne l’imbécile dans la première forêt qu’on trouve puis on fais notre rapport à Ulfric en disant qu’on a fait tout ce qu’on a pu pour limiter les dégâts et tout le bordel, puis on se chope une petite promotion.
Roger : Quel imbécile ? De qui vous parlez ?
Ralof : Ou bien on se casse et on va vivre dans les bois, on chassera des trolls, on se servira de leur graisse pour ouvrir un fast food où on servira des burgers à base de viande de Similodon ?
Sombrage : T’es con ou quoi, si on approche des Similodons ce sera nous les burgers !
Roger : Je peux venir avec vous les copains ?
Impérial : Franchement, n’hésitez pas à le dire hein si on dérange.
Ralof : Bon allez gamin, quitte à ce que tu nous suives jusqu’à ce qu’on sorte d’ici, autant t’apprendre vite fait les rudiments du combat.
Après une séance d’entraînement accéléré où Roger a tranché malencontreusement deux bras de Sombrages en voulant « tester des trucs » comme il disait et où il mit le feu à la moitié des meubles de bois, le combat put enfin commencer. (Les impériaux s’étaient mis dans un coin de la pièce où ils jouaient aux cartes en attendant.)
Ralof : C’bon on est prêts !
Impérial : Putain c’est pas trop tôt !
Roger : Allez ! FEU ! FEU ! FEU !
Ralof : BORDEL ROGER LE DRAGON DEHORS T’ES SENSE L’ESQUIVER, PAS FAIRE LE BOULOT A SA PLACE !
Sombrage : Enfin, au moins il a dégommé tous les Impériaux…
Ralof : Et la moitié de la maison aussi, mais qu’il est con !
La suite de la fuite se fit non sans encombres, Ralof et les autres ayant du ramener Roger qui s’était mis en tête de faire du rodéo sur chaque personne en feu qu’il trouvait. Après que ce dernier ait eu l’idée plus que discutable de lancer un rouleau de PQ à tête du dragon pour « détourner l’attention de celui-ci », ils purent enfin s’extraire du village. Bilan : Deux flèches dans le cul de Ralof (Toute les deux de Roger, avant qu’on ne lui confisque son arc.), un sombrage qui a oublié son nom après que Ralof l’aie assommé en le prenant pour Roger. (Juste après la deuxième flèche.) Et un village rayé de la carte de Bordeciel.
Ralof : Je t’avais complètement sous-estimé. Première fois que je t’ai vu, je t’ai pris pour un con, certes, mais un con inoffensif, maintenant je me rends compte que tu es au-delà de toute espérance, tu places la barre tellement haut que jamais aucun con ne pourras battre ton record. Toutes mes félicitations.
Roger : C’est gentil. Enfin… je crois…
Sombrage : Bon on le sème ?
Ralof : Effectivement c’est une idée !
Roger : Hé ! Vous parlez du sombrage à qui j’ai coupé un bras hein ? Parlez pas trop fort il va nous entendre.
Ralof : Ou bien on le garde et on le file à l’académie de Fortdhiver pour le livre comme cobaye ? Il y a surement un truc à en tirer, un tel potentiel de débilité réparti dans une seule personne ça va à coup sûr les intéresser.
Finalement, les sombrages décidèrent de garder Roger une nuit de plus pour l’emmener à Rivebois et statuer sur son sort plus tard…
Ralof : Bon ! Où sont les autres ?
Sombrages : Il y en a un qui a la chiasse plus loin et l’autre qui vomit depuis hier dans la neige le « repas » que Roger nous a servi hier.
Roger : M’enfin ! Comment je pouvais savoir que ça se mangeait pas moi les grosses araignées ?
Ralof : Crétin ! Les grivépeires sont bourrées de venins ! Tout le monde sait ça.
Sombrage : D’ailleurs comment ça se fait que t’es pas malade Ralof ?
Ralof : Parce que je suis pas con au point de bouffer ce qu’un abruti pareil peut nous servir.
Sombrage : Ca se tient mais comment ça se fait que lui il l’est pas, il a mangé la moitié à lui tout seul !
Ralof : J’imagine que au-delà de son idiotie, il a aussi une chance extraordinaire, c’est quand même la première fois qu’un mec essaye de Jouer au golf avec la queue d’un dragon et s’en sort indemne.
Sombrage : Bon on va où du coup
Ralof : Direction Rivebois, toi reste avec les autres, je m’occupe de Roger.
Roger : Tiens j’ai entendu parler d’une poule là bas…
Ralof : PUTAIN ECOUTE MOI BIEN CONNARD ! SI JAMAIS TU APPROCHES CETTE POULE, JE TE TRANCHE CHAQUE PARTIE DE TON CORPS !
Sombrage : QUE QUE TU COUPE LES BRAS DE NOS POTES , D’ACCORD ! QUE TU NOUS PLANTES DES FLECHES DANS LE CUL D’ACCORD ! MAIS SI JAMAIS TU TOUCHES A CETTE POULE JE T’ACHEVE A COUPS DE POUTRES !
Roger : Euh… Ok…
Et c’est ainsi que Roger et Ralof se mirent en chemin…
Fin du chapitre 2