Armes et armures "historiques"
Re: Armes et armures "historiques"
C'est surtout parce qu'il n'y a pas grand chose à en dire. Les armures "bikinis" sont irréalistes, mais les tatouages de protection, les peintures de guerre encore plus.
Historiquement, des hommes sont allés au combat entièrement nus. Dans la guerre des Gaules, Jules César débarque en Bretagne pour faire face aux troupes du chef Breton Cassivellaunos. Les guerriers bretons combattirent sur la plage et dans l'eau même, uniquement "vêtus" de peintures de guerre et les cheveux raidis et blanchis pour créer une coiffure comme hérissée de piquants. Leur protection ? Leur aspect terrifiant et la fureur de leur assaut !
Dans un univers magique on peut imaginer que de telles "protections" offrent des bonus magiques (un peu comme l'oeil de peur des khajits).
Vous devez vous demander quel rapport il y a entre un sujet dont j'ai déjà parlé et les armures "bikinis" ? Il y en a un ! Dans un univers réaliste, un string de maille est juste une méthode d'épilation particulièrement brutale à réserver aux masos ! Cela ne protège de rien (surtout pas du ridicule) et ne sauve même pas la pudeur. Quand on sait à quel point une cotte de maille est irritante, on peut même classer le string de maille parmi les instruments de torture.
Oui, mais le mot clef est réalisme.
Dans le monde réel, il n'y a pas de dragon, pas de géant, pas de magie. Si on peut admettre qu'une peinture de guerre peut protéger un homme, pourquoi ne pas imaginer que quelques enchantements sur une tenue minimaliste puisse donner à deux morceaux de tissu mal noués une protection supérieure à celle d'une armure de plates.
On pourrait aussi discuter du bon goût d'une telle "armure" mais c'est un tout autre débat...
Historiquement, des hommes sont allés au combat entièrement nus. Dans la guerre des Gaules, Jules César débarque en Bretagne pour faire face aux troupes du chef Breton Cassivellaunos. Les guerriers bretons combattirent sur la plage et dans l'eau même, uniquement "vêtus" de peintures de guerre et les cheveux raidis et blanchis pour créer une coiffure comme hérissée de piquants. Leur protection ? Leur aspect terrifiant et la fureur de leur assaut !
Dans un univers magique on peut imaginer que de telles "protections" offrent des bonus magiques (un peu comme l'oeil de peur des khajits).
Vous devez vous demander quel rapport il y a entre un sujet dont j'ai déjà parlé et les armures "bikinis" ? Il y en a un ! Dans un univers réaliste, un string de maille est juste une méthode d'épilation particulièrement brutale à réserver aux masos ! Cela ne protège de rien (surtout pas du ridicule) et ne sauve même pas la pudeur. Quand on sait à quel point une cotte de maille est irritante, on peut même classer le string de maille parmi les instruments de torture.
Oui, mais le mot clef est réalisme.
Dans le monde réel, il n'y a pas de dragon, pas de géant, pas de magie. Si on peut admettre qu'une peinture de guerre peut protéger un homme, pourquoi ne pas imaginer que quelques enchantements sur une tenue minimaliste puisse donner à deux morceaux de tissu mal noués une protection supérieure à celle d'une armure de plates.
On pourrait aussi discuter du bon goût d'une telle "armure" mais c'est un tout autre débat...
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Armes et armures "historiques"
Malhuin a écrit :Dans un univers réaliste, un string de maille est juste une méthode d'épilation particulièrement brutale à réserver aux masos ! Cela ne protège de rien (surtout pas du ridicule) et ne sauve même pas la pudeur. Quand on sait à quel point une cotte de maille est irritante, on peut même classer le string de maille parmi les instruments de torture.


Adieu Yu Qi...


Re: Armes et armures "historiques"
Au moins, maintenant vous saurez comment les guerrières médiévales fantastiques pratiquent leur épilation intime
Oui, j'arrête avant d'être lynché par la population féminine du forum
!
edit : cela dit certaines armures féminine venue d'univers médiéval-fantastique sont très sexy et visuellement attirante. Je conseille Clyde Caldwell comme source d'inspiration :



edit : cela dit certaines armures féminine venue d'univers médiéval-fantastique sont très sexy et visuellement attirante. Je conseille Clyde Caldwell comme source d'inspiration :

Modifié en dernier par malhuin le 19 déc. 2011, 11:52, modifié 3 fois.
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Armes et armures "historiques"
*voit naeda qui arrive en galopant vers malhuin* effectivement, je crois qu'il faut que vous vous mettiez à courir! N'empêche il faut absolument la garder dans les annales
(non, pas cette pratique!
)


Adieu Yu Qi...


Re: Armes et armures "historiques"
Voilà un autre exemple d'armure "bikini" irréaliste, certes mais fort prisé des amateurs de plastique féminine. A moins d'imaginer une protection de type magique, la superficie réduite d'armure ne permet pas d'espérer une protection efficiente.

Encore une fois c'est signé Clyde Cadwell. Je trouve les armures masculines plus intéressantes pour une adaptation dans l'univers de Skyrim.
Les armures à écaille
Parent pauvre des univers médiévaux-fantastiques, pourtant d'un style magnifique. Les armures à écailles offrent pourtant une protection égale à la cotte de maille en étant plus facile à concevoir, moins cher et plus rapide à revêtir.
Il s'agit en fait d'armure de tissu, généralement du cuir, sur lesquelles sont cousues des écailles de métal, fer, acier, bronze cuivre. Elles sont très impressionnantes car les écailles sont généralement briquées et huilées. Oh... on l'oublie toujours, ce genre d'armure doit être régulièrement entretenues pour ne pas s'abîmer. Entre autre chose elles sont vulnérables à la rouille; c'est pour s'en protéger que les soldats huilent cottes de maille, plates et écailles. Le résultat contribue à la... fraîche odeur saine que tout guerrier répand autour de lui. Suave mélange d'acier, de sueur et d'huile !

Il s'agit ici de guerriers scythes peints par Angus Mc Bride

Et là des russes du XVème siècle, toujours par Angus Mc Bride.

Encore une fois c'est signé Clyde Cadwell. Je trouve les armures masculines plus intéressantes pour une adaptation dans l'univers de Skyrim.
Les armures à écaille
Parent pauvre des univers médiévaux-fantastiques, pourtant d'un style magnifique. Les armures à écailles offrent pourtant une protection égale à la cotte de maille en étant plus facile à concevoir, moins cher et plus rapide à revêtir.
Il s'agit en fait d'armure de tissu, généralement du cuir, sur lesquelles sont cousues des écailles de métal, fer, acier, bronze cuivre. Elles sont très impressionnantes car les écailles sont généralement briquées et huilées. Oh... on l'oublie toujours, ce genre d'armure doit être régulièrement entretenues pour ne pas s'abîmer. Entre autre chose elles sont vulnérables à la rouille; c'est pour s'en protéger que les soldats huilent cottes de maille, plates et écailles. Le résultat contribue à la... fraîche odeur saine que tout guerrier répand autour de lui. Suave mélange d'acier, de sueur et d'huile !

Il s'agit ici de guerriers scythes peints par Angus Mc Bride

Et là des russes du XVème siècle, toujours par Angus Mc Bride.
Modifié en dernier par malhuin le 19 déc. 2011, 12:23, modifié 2 fois.
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Armes et armures "historiques"
Et si vous faisiez un concours de mode avec des armures pour masochistes, hein?!
Adieu Yu Qi...


Re: Armes et armures "historiques"
Une petite info pour l'armure de maille :
Il semble que les premières cottes de mailles aient été de fabrication Celtes, vers le IIIe siècle avant notre ère. Elles auraient été portées plus comme tenues d'apparat que comme une tenue de combat.
Les Romains, au contact des Celtes, ont adopté cette tenue, (la célèbre Lorica Hamata), pour en équiper massivement les légions.
L’usage de la cotte de mailles tendra à diminuer au début du Moyen Age, sans toutefois disparaître. Elle retrouve une nouvelle vogue, surtout pour les guerriers aisés, vers les années 1000 - 1050. Elle équipera désormais la majorité des combattants jusqu'au XVe siècle.
La cotte de mailles protège efficacement des coups de taille, (tranchant de l'arme) cependant la protection des coups d'estoc (pointe de l'arme) et des projectiles (flèches) est plus aléatoire...
Sous la cotte de mailles, le combattant porte un genre de chemise matelassée, (le gambisson), destiné à amortir les chocs. A l’époque des croisades, on commence à porter, au-dessus de la cotte de mailles, une tunique droite décorée aux armes du guerrier et destinée à protéger la cotte en métal de l'échauffement provoqué par les rayons du soleil.
Tout au long de son histoire, la cotte de mailles va connaître de multiples modifications. A la classique chemise de mailles qui couvre le torse, les cuisses et les bras, on adjoint, vers le IXe siècle, une capuche (le camail). A partir du XIIIe siècle, le combattant se protège des pieds à la tête en ajoutant des chausses et des mitons (pantalon et gants de mailles).
La fabrication et l'assemblage des mailles ne cesse pas également d'évoluer. Les mailles en fer sont parfois rivetées ou soudées pour assurer une plus grande résistance. Le diamètre des mailles se réduit pour passer de 15 mm à 8 mm ou 6 mm, voire moins; la section des mailles passe de 3 mm à parfois moins de 1 mm. La méthode d'assemblage des mailles est également évolutive, on trouve des méthodes dites 4 en 1 (4 mailles assemblées sur 1 maille, la plus classique), mais aussi des assemblages de 6 en 1, de 8 en 1, parfois plus...
Il semble que les premières cottes de mailles aient été de fabrication Celtes, vers le IIIe siècle avant notre ère. Elles auraient été portées plus comme tenues d'apparat que comme une tenue de combat.
Les Romains, au contact des Celtes, ont adopté cette tenue, (la célèbre Lorica Hamata), pour en équiper massivement les légions.
L’usage de la cotte de mailles tendra à diminuer au début du Moyen Age, sans toutefois disparaître. Elle retrouve une nouvelle vogue, surtout pour les guerriers aisés, vers les années 1000 - 1050. Elle équipera désormais la majorité des combattants jusqu'au XVe siècle.
La cotte de mailles protège efficacement des coups de taille, (tranchant de l'arme) cependant la protection des coups d'estoc (pointe de l'arme) et des projectiles (flèches) est plus aléatoire...
Sous la cotte de mailles, le combattant porte un genre de chemise matelassée, (le gambisson), destiné à amortir les chocs. A l’époque des croisades, on commence à porter, au-dessus de la cotte de mailles, une tunique droite décorée aux armes du guerrier et destinée à protéger la cotte en métal de l'échauffement provoqué par les rayons du soleil.
Tout au long de son histoire, la cotte de mailles va connaître de multiples modifications. A la classique chemise de mailles qui couvre le torse, les cuisses et les bras, on adjoint, vers le IXe siècle, une capuche (le camail). A partir du XIIIe siècle, le combattant se protège des pieds à la tête en ajoutant des chausses et des mitons (pantalon et gants de mailles).
La fabrication et l'assemblage des mailles ne cesse pas également d'évoluer. Les mailles en fer sont parfois rivetées ou soudées pour assurer une plus grande résistance. Le diamètre des mailles se réduit pour passer de 15 mm à 8 mm ou 6 mm, voire moins; la section des mailles passe de 3 mm à parfois moins de 1 mm. La méthode d'assemblage des mailles est également évolutive, on trouve des méthodes dites 4 en 1 (4 mailles assemblées sur 1 maille, la plus classique), mais aussi des assemblages de 6 en 1, de 8 en 1, parfois plus...
Dans l'ombre je me tapis,pour que tu meures sans un cri.
Re: Armes et armures "historiques"
Excellent article, je ne te contesterais que sur un point. La cotte de maille n'a jamais été l'armure la plus populaire des guerriers. Elle est trop chère pour cela et reste l'apanage des guerriers riches. Les capitulaires carolingiens identifient clairement l'armure portée par les guerriers de l'époque de Charlemagne : la broigne qui reste utilisée par toutes les armées médiévales ( en Europe !) jusqu'à l'invasion de l'Angleterre soit en 1066.
La Cotte de maille recommence à être utilisée par les combattants fortunés à partir de la première croisade (1095).
Cela dit les textes et l'archéologie nous informent surtout de l'équipement des guerriers riches, c'est à dire celui qui est mentionné dans les chroniques et conservé dans les tombes des puissants, ou figuré sur les miniatures médiévales.
Au haut moyen âge, ceux qui peuvent s'acheter une armure, mais ne sont pas assez riche pour la broigne, se rabattent sur la cuirasse, l'armure de cuir (généralement le gambisson). Au bas moyen-âge c'est plutôt la jacque de tissu. Mais au-dessus de la cotte de maille, mais en dessous de l'armure de plate bas de gamme, il y a la brigantine. Une armure qui couvre la poitrine et est faite de petites plaques de métal rivetées et recouverte de tissu.
La Cotte de maille recommence à être utilisée par les combattants fortunés à partir de la première croisade (1095).
Cela dit les textes et l'archéologie nous informent surtout de l'équipement des guerriers riches, c'est à dire celui qui est mentionné dans les chroniques et conservé dans les tombes des puissants, ou figuré sur les miniatures médiévales.
Au haut moyen âge, ceux qui peuvent s'acheter une armure, mais ne sont pas assez riche pour la broigne, se rabattent sur la cuirasse, l'armure de cuir (généralement le gambisson). Au bas moyen-âge c'est plutôt la jacque de tissu. Mais au-dessus de la cotte de maille, mais en dessous de l'armure de plate bas de gamme, il y a la brigantine. Une armure qui couvre la poitrine et est faite de petites plaques de métal rivetées et recouverte de tissu.
Hors-sujet
La brigantine a laissé des traces dans la langue française et rappellent bien sa popularité parmi les guerriers de la fin du moyen-âge. Les mots "brigand" et "brigade" viennent de brigantine.
A l'origine brigand n'est pas un synonyme de bandit. Il désigne tout simplement un soldat équipé d'une brigantine. Seulement, au cours de la guerre de cent ans, les "grandes compagnies" et les "écorcheurs" ces mercenaires-bandits qui participent aux guerres du roi de France et pillent les campagnes pendant les périodes de trêve donnent mauvaise réputation au soldat de base de l'armée royale. Comme ces hommes portaient des brigantines et étaient donc des brigands, le mot a pris un sens péjoratif.
Quand à brigade il n'a pas changé de sens il désigne toujours une unité militaire qui - à l'origine- était équipé de brigantines.
A l'origine brigand n'est pas un synonyme de bandit. Il désigne tout simplement un soldat équipé d'une brigantine. Seulement, au cours de la guerre de cent ans, les "grandes compagnies" et les "écorcheurs" ces mercenaires-bandits qui participent aux guerres du roi de France et pillent les campagnes pendant les périodes de trêve donnent mauvaise réputation au soldat de base de l'armée royale. Comme ces hommes portaient des brigantines et étaient donc des brigands, le mot a pris un sens péjoratif.
Quand à brigade il n'a pas changé de sens il désigne toujours une unité militaire qui - à l'origine- était équipé de brigantines.
Modifié en dernier par malhuin le 21 déc. 2011, 12:49, modifié 2 fois.
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Armes et armures "historiques"
J'aimerais savoir si il est possible d'intégrer les katars (ou griffes de combat) dans Skyrim. Dans notre monde, c'est une arme exotique orientale, je ne connais pas exactement la période dans laquelle il a été le plus utilisé.
En voici un exemple :
http://www.columbia.edu/itc/mealac/prit ... /katar.jpg
Autrement, un autre style, je ne sais pas si ce modèle a réellement été utilisé . Je ne pense pas que ce type de katar ait existé dans notre monde: Je trouve les lames un peu trop écartées :
http://www.soulpedia.net/w/images/thumb ... -Voldo.jpg
Voilà, j'attends ton avis Malhuin
.
En voici un exemple :
http://www.columbia.edu/itc/mealac/prit ... /katar.jpg
Autrement, un autre style, je ne sais pas si ce modèle a réellement été utilisé . Je ne pense pas que ce type de katar ait existé dans notre monde: Je trouve les lames un peu trop écartées :
http://www.soulpedia.net/w/images/thumb ... -Voldo.jpg
Voilà, j'attends ton avis Malhuin

Re: Armes et armures "historiques"
Le khatar est un poignard indien (d'Inde). Il a été utilisé de l'antiquité jusqu'à nos jours. Visiblement tu le confonds avec une arme similaire qui fait partie de l'équipement traditionnel du ninja les "tekagi" ou"shuko" des griffes d'escalades, parfois utilisées au combat. On parle parfois de cestus (des gants de combat utilisaient pour un ancêtre gréco-romain de la boxe) qui seraient garnis de lames.
Le khatar est considéré comme un poignard à cause de la manière dont on se sert de sa lame. On frappe pour transpercer l'adversaire même si la lame se trouve dans le prolongement du bras (et non perpendiculairement au bras étendu).
Le tekagi et le cestus sont formés de trois griffes fixées sur le dos de la main, on frappe en formant des mouvements en arc de cercle comme un chat qui griffe.
Sinon, pour répondre à ta question. Je donne des conseils sur le réalisme des armes et non sur leur côté ethnologiquement correct. Ce serait de toute manière absurde, le monde de TES est distinct de la Terre. Une arme hindou semblable au khatar peut très bien être apparue parmi les nordiques.
Pour ce qui est de son réalisme... hé c'est une arme historique, on ne peut pas faire plus réaliste !
La seconde paire de griffes me fait penser à une version plus travaillée et plus fine des cestus à lames qu'utilise Conan dans le premier film de Schwarzy ( Conan le barbare). On voit cette arme dans un des combats de l'arène au début du film. Je te conseille des lames plus larges et en croix (au-dessus, en dessous du poignet, dans le prolongement du poing fermé).
Le khatar est considéré comme un poignard à cause de la manière dont on se sert de sa lame. On frappe pour transpercer l'adversaire même si la lame se trouve dans le prolongement du bras (et non perpendiculairement au bras étendu).
Le tekagi et le cestus sont formés de trois griffes fixées sur le dos de la main, on frappe en formant des mouvements en arc de cercle comme un chat qui griffe.
Sinon, pour répondre à ta question. Je donne des conseils sur le réalisme des armes et non sur leur côté ethnologiquement correct. Ce serait de toute manière absurde, le monde de TES est distinct de la Terre. Une arme hindou semblable au khatar peut très bien être apparue parmi les nordiques.
Pour ce qui est de son réalisme... hé c'est une arme historique, on ne peut pas faire plus réaliste !
La seconde paire de griffes me fait penser à une version plus travaillée et plus fine des cestus à lames qu'utilise Conan dans le premier film de Schwarzy ( Conan le barbare). On voit cette arme dans un des combats de l'arène au début du film. Je te conseille des lames plus larges et en croix (au-dessus, en dessous du poignet, dans le prolongement du poing fermé).
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.