excuse-moi quelques instants * part ravager un site de manga très connu *
un quart d'heure plus tard
" Je me sens mieux ! De quoi parlions-nous ?"
Mangas
Re: Mangas
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Mangas
*Pauvre mangareader*
Tiens sinon vous voulez une bonne nouvelle? Ubel Blatt tome 11 sortira en février 2012 en France. La source? Le stand Ki-oon à la Japan Expo, j'ai pas la photo sous la main là, je la mettrais ce soir.
Tiens sinon vous voulez une bonne nouvelle? Ubel Blatt tome 11 sortira en février 2012 en France. La source? Le stand Ki-oon à la Japan Expo, j'ai pas la photo sous la main là, je la mettrais ce soir.
Corax, Maître de la Raven Guard.
Vinctorus aut Mortis - Credo de la Raven Guard
Tuto installation mods Fallout 3/NV
Tuto installation mods Skyrim
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Re: Mangas
Chobits
L'histoire : le futur proche, le développement de l'Intelligence Artificielle, de la mécatronique et d'internet a donné naissance aux persocoms. Les persocoms sont des androïdes (mais pas des robots, ils ne sont pas soumis aux 3 lois d’Asimov) qui servent d'accès de communication permanent en plus des autres rôles que l'on veut leur faire jouer.
Ce futur est assez sombre, un monde déshumanisé, où les hommes se frôlent sans se toucher, un monde d'automates sexuels (on voit ici où là des pubs pour des "services" effectués par des persocoms) un monde de solitude ( la BD dessinée par un des personnages parle de ce sentiment).
Le héros est un jeune étudiant qui enchaîne les petits boulots. Un jour, il trouve un persocom abandonné sur un tas de déchets. Il la ramène chez lui et la remet en marche. Ses programmes sont lourdement endommagés, elle n'est même plus capable de parler. le seul son qu'elle est capable de produire - au début de l'histoire- est "chi". Cela deviendra son nom: Chi. Un spécialiste des persocoms aide le héros à comprendre le problème. Loin d'être stupide, Chi se révèle capable d'apprendre à une vitesse stupéfiante, retrouvant rapidement la parole et développant différentes capacités. L'absence de numéro de série pousse les personnages à se référer à une légende urbaine. Il existerait des persocoms plus perfectionnés, les Chobits, on les dit aussi évolués que les humains. Plus, Chi se révélera capable de sentiments complexes. Et si... et si... les intelligences artificielles étaient capables d'aimer et de rendre l'amour qui leur était donné.
Mon avis : Je n'ai pleuré qu'une seule fois en lisant un manga, c'est en lisant chobit. Ce manga est impressionnant. Beau dessin, intrigue bien construite, avec plusieurs retournements de situation. Les personnages sont intéressants et on évite la caricature bon/méchant en nous présentant des personnages mû par des motivations. Surtout ce qui m'a plus c'est les sentiments que la lecture de ce manga nous procurent. Chi est adorable, c'est un être pur, le physique d'une adolescente, le coeur d'une petite fille, l’innocence et la naïveté d'une enfant. On ne peut que l'aimer.
La trame philosophique est encore plus intéressante. Le postulat de base au début de la série est : " les sentiments des persocoms sont des illusions puisqu'ils ont été programmés". mais petit à petit cette croyance se fissurent un persocom s'irrite de l'arrogance des humains qui ne savent pas ce que sont leur propres sentiments et se permettent de juger ceux des IA. Une autre persocom dit que ses sentiments sont réelles parce qu'elle y croit. A la fin, une autre persocom dit que les Hommes ne savent pas aimer car ils sont incapables de se donner complètement, les persocoms si ! On se prend une claque en comprenant qu'elle a raison. La scène de fin de l'histoire montre des couples (humain-humain ; humain-perocom ; persocom-persocom) et l'on comprend que le monde est à la veille d'un changement. Ce monde si déshumanisé qui nous est montré dans le tome 1 est en train de réapprendre l'amour... grâce aux persocoms.
Pour résumer, Chobits est l'anti-terminator. l'humanité, déshumanisé retrouve l'amour grâce aux machines qu'elle a fabriqué. Je dis souvent que l'intrigue aurait pu être écrite par Asimov dans un de ses meilleur jour.
L'histoire : le futur proche, le développement de l'Intelligence Artificielle, de la mécatronique et d'internet a donné naissance aux persocoms. Les persocoms sont des androïdes (mais pas des robots, ils ne sont pas soumis aux 3 lois d’Asimov) qui servent d'accès de communication permanent en plus des autres rôles que l'on veut leur faire jouer.
Ce futur est assez sombre, un monde déshumanisé, où les hommes se frôlent sans se toucher, un monde d'automates sexuels (on voit ici où là des pubs pour des "services" effectués par des persocoms) un monde de solitude ( la BD dessinée par un des personnages parle de ce sentiment).
Le héros est un jeune étudiant qui enchaîne les petits boulots. Un jour, il trouve un persocom abandonné sur un tas de déchets. Il la ramène chez lui et la remet en marche. Ses programmes sont lourdement endommagés, elle n'est même plus capable de parler. le seul son qu'elle est capable de produire - au début de l'histoire- est "chi". Cela deviendra son nom: Chi. Un spécialiste des persocoms aide le héros à comprendre le problème. Loin d'être stupide, Chi se révèle capable d'apprendre à une vitesse stupéfiante, retrouvant rapidement la parole et développant différentes capacités. L'absence de numéro de série pousse les personnages à se référer à une légende urbaine. Il existerait des persocoms plus perfectionnés, les Chobits, on les dit aussi évolués que les humains. Plus, Chi se révélera capable de sentiments complexes. Et si... et si... les intelligences artificielles étaient capables d'aimer et de rendre l'amour qui leur était donné.
Mon avis : Je n'ai pleuré qu'une seule fois en lisant un manga, c'est en lisant chobit. Ce manga est impressionnant. Beau dessin, intrigue bien construite, avec plusieurs retournements de situation. Les personnages sont intéressants et on évite la caricature bon/méchant en nous présentant des personnages mû par des motivations. Surtout ce qui m'a plus c'est les sentiments que la lecture de ce manga nous procurent. Chi est adorable, c'est un être pur, le physique d'une adolescente, le coeur d'une petite fille, l’innocence et la naïveté d'une enfant. On ne peut que l'aimer.
La trame philosophique est encore plus intéressante. Le postulat de base au début de la série est : " les sentiments des persocoms sont des illusions puisqu'ils ont été programmés". mais petit à petit cette croyance se fissurent un persocom s'irrite de l'arrogance des humains qui ne savent pas ce que sont leur propres sentiments et se permettent de juger ceux des IA. Une autre persocom dit que ses sentiments sont réelles parce qu'elle y croit. A la fin, une autre persocom dit que les Hommes ne savent pas aimer car ils sont incapables de se donner complètement, les persocoms si ! On se prend une claque en comprenant qu'elle a raison. La scène de fin de l'histoire montre des couples (humain-humain ; humain-perocom ; persocom-persocom) et l'on comprend que le monde est à la veille d'un changement. Ce monde si déshumanisé qui nous est montré dans le tome 1 est en train de réapprendre l'amour... grâce aux persocoms.
Pour résumer, Chobits est l'anti-terminator. l'humanité, déshumanisé retrouve l'amour grâce aux machines qu'elle a fabriqué. Je dis souvent que l'intrigue aurait pu être écrite par Asimov dans un de ses meilleur jour.
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Mangas
Immortal Regis et Cavalier of the Abysse
Il s'agit d'un manga coréen (cette fois-ci c'est sûr, il se lit de gauche à droite). Bien que non traduit en français, il a reçu un bon accueil dans notre pays.
L'histoire : Jae est un lycéen presque ordinaire. Il est orphelin de père et de mère. Il élève seul son petit frère atteint d'une grave maladie. La vie est difficile, il travaille après les cours mais arrive à peine à payer le loyer. Un soir, son frère a une grave crise. Voulant le conduire à l'hôpital plus rapidement, il traverse un parc et... se retrouve pris dans un combat entre deux démons. Il reçoit un tir perdu et meurt ! Alors qu'il agonise, la belle Serin se penche sur lui et lui donne un baiser brûlant ! Fin de l'histoire dès le chapitre 2 ? Non, la princesse démon Serin est nécromancienne. Grâce à son sang elle donne à Jae une seconde "vie", celle d'un zombie supérieur. Jae semble vivant (il va même continuer à grandir), il a également reçu de puissants pouvoir ( quasi-invulnérabilité, capacité à transformer ses mains en "serres noires" force et endurance augmentées, régénération). Toutefois, il y a deux côtés négatif. Lorsqu'il est blessé il absorbe l'énergie vitale ambiante et donc tue tout ce qui l'entoure pour se régénérer. Deuxièmement, il doit boire le sang de Serin tous les trois jours, sous peine de se transformer en authentique cadavre ! Jae ne peut rester sur Terre et se réfugie dans les Abysses. Seulement, là il se retrouve pris au piège des intrigues des quatre maisons de démon qui se partagent le pouvoir depuis la mort du dernier Regis (roi du Chaos). Or, le dernier regis était un mort vivant humain, un tyran ! En ramenant Jae à la vie, Serin a violé un interdit. Jae doit mourir. D'autres personnages interviennent : un devin prédit que Jae partage le destin du dernier Regis soit il deviendra un grand roi du Chaos soit au contraire il provoquera la fin de ce monde. Au tréfonds de la cité des mages, Depore - l'épée magique du roi mort vivant, scellée depuis un siècle- s'éveille et appelle Jae. A l'insu de tous, tous ces évènements sont le fruit des manipulations du vrai Regis du Chaos, un souverain immortel (le fameux Immortal Regis du titre) qui a élu une nouvelle marionnette. Une guerre gigantesque s'annonce ! Au milieu de ce déchaînement de catastrophe, Jae réussira-t-il a survivre ? Comprendra-t-il que Serin l'aime ?
Mon avis : Je n'aime pas beaucoup le dessin, l'intrigue (surtout dans Cavalier of the Abysse) est nébuleuse, trop de personnages, d'intrigues parallèles et de rebondissements ! l'auteur devrait mettre un guide des personnages pour que l'on s'y retrouve surtout que certains personnages ont plusieurs noms ( Mirya - > Mithra) ! Le mangaka dessine souvent ses personnages de la même manière et il est difficile de les différencier.
En dépit de ces défauts, Immortal Regis est une bonne série. Pour être honnête j'ai été séduis par le personnage de Serin. Princesse, démon, nécromancienne, au premier coup d'oeil elle est exactement ce que l'on pourrait craindre : hautaine, manipulatrice, cruelle. Elle se sert de Jae comme appât pour attirer un ennemi dans un piège. Pourtant... Jae développe des sentiments mitigés pour elle. Il la hait parce qu'elle l'a tué et a fait de lui un monstre. Mais le souvenir du baiser qu'elle lui a donné l'enflamme.
On finit par comprendre que Serin a des sentiments aussi complexes et ambivalent pour Jae. Une nécromancienne, un zombie... Jae est pris au piège de ses sentiments. Il aime trop Serin pour la tuer, mais il la déteste trop pour lui pardonner. Ensemble pourtant, ils pourraient sauver les Abysses.
( Anecdote : le personnage de Serin me plaît tellement que j'ai recréé la race "démon des Abysses" pour Oblivion et que je joue un personnage qui s'appelle Serin et qui est nécromancienne.)
Il s'agit d'un manga coréen (cette fois-ci c'est sûr, il se lit de gauche à droite). Bien que non traduit en français, il a reçu un bon accueil dans notre pays.
L'histoire : Jae est un lycéen presque ordinaire. Il est orphelin de père et de mère. Il élève seul son petit frère atteint d'une grave maladie. La vie est difficile, il travaille après les cours mais arrive à peine à payer le loyer. Un soir, son frère a une grave crise. Voulant le conduire à l'hôpital plus rapidement, il traverse un parc et... se retrouve pris dans un combat entre deux démons. Il reçoit un tir perdu et meurt ! Alors qu'il agonise, la belle Serin se penche sur lui et lui donne un baiser brûlant ! Fin de l'histoire dès le chapitre 2 ? Non, la princesse démon Serin est nécromancienne. Grâce à son sang elle donne à Jae une seconde "vie", celle d'un zombie supérieur. Jae semble vivant (il va même continuer à grandir), il a également reçu de puissants pouvoir ( quasi-invulnérabilité, capacité à transformer ses mains en "serres noires" force et endurance augmentées, régénération). Toutefois, il y a deux côtés négatif. Lorsqu'il est blessé il absorbe l'énergie vitale ambiante et donc tue tout ce qui l'entoure pour se régénérer. Deuxièmement, il doit boire le sang de Serin tous les trois jours, sous peine de se transformer en authentique cadavre ! Jae ne peut rester sur Terre et se réfugie dans les Abysses. Seulement, là il se retrouve pris au piège des intrigues des quatre maisons de démon qui se partagent le pouvoir depuis la mort du dernier Regis (roi du Chaos). Or, le dernier regis était un mort vivant humain, un tyran ! En ramenant Jae à la vie, Serin a violé un interdit. Jae doit mourir. D'autres personnages interviennent : un devin prédit que Jae partage le destin du dernier Regis soit il deviendra un grand roi du Chaos soit au contraire il provoquera la fin de ce monde. Au tréfonds de la cité des mages, Depore - l'épée magique du roi mort vivant, scellée depuis un siècle- s'éveille et appelle Jae. A l'insu de tous, tous ces évènements sont le fruit des manipulations du vrai Regis du Chaos, un souverain immortel (le fameux Immortal Regis du titre) qui a élu une nouvelle marionnette. Une guerre gigantesque s'annonce ! Au milieu de ce déchaînement de catastrophe, Jae réussira-t-il a survivre ? Comprendra-t-il que Serin l'aime ?
Mon avis : Je n'aime pas beaucoup le dessin, l'intrigue (surtout dans Cavalier of the Abysse) est nébuleuse, trop de personnages, d'intrigues parallèles et de rebondissements ! l'auteur devrait mettre un guide des personnages pour que l'on s'y retrouve surtout que certains personnages ont plusieurs noms ( Mirya - > Mithra) ! Le mangaka dessine souvent ses personnages de la même manière et il est difficile de les différencier.
En dépit de ces défauts, Immortal Regis est une bonne série. Pour être honnête j'ai été séduis par le personnage de Serin. Princesse, démon, nécromancienne, au premier coup d'oeil elle est exactement ce que l'on pourrait craindre : hautaine, manipulatrice, cruelle. Elle se sert de Jae comme appât pour attirer un ennemi dans un piège. Pourtant... Jae développe des sentiments mitigés pour elle. Il la hait parce qu'elle l'a tué et a fait de lui un monstre. Mais le souvenir du baiser qu'elle lui a donné l'enflamme.
On finit par comprendre que Serin a des sentiments aussi complexes et ambivalent pour Jae. Une nécromancienne, un zombie... Jae est pris au piège de ses sentiments. Il aime trop Serin pour la tuer, mais il la déteste trop pour lui pardonner. Ensemble pourtant, ils pourraient sauver les Abysses.
( Anecdote : le personnage de Serin me plaît tellement que j'ai recréé la race "démon des Abysses" pour Oblivion et que je joue un personnage qui s'appelle Serin et qui est nécromancienne.)
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Mangas
Omamori Himari
Un omamori est une amulette protectrice et Himari est la démone chat qui est l'héroïne de l'histoire, le titre est donc " Himari, l'amulette protectrice".
L'histoire : Yuuto (ou Yuto, selon la traduction) est un adolescent de 16 ans. Il vit seul, orphelin depuis l'âge de sept ans. Sa voisine Reika lui sert à la fois de grande soeur et... (bien qu'il n'ait pas encore compris) de seule unique candidate au titre de petite amie et de futur femme (oui, la petite fait des projets sur le long terme). Yuuto serait un garçon ordinaire s'il n'était pas amnésique et ne portait pas en permanence une amulette protectrice remis par ses grand-parents aujourd'hui décédés.
Tout change le jour de ses seize ans. La boule dans le sachet de soie de son amulette disparaît. puis, sur le chemin de l'école, il rencontre une belle jeune fille du nom d'Himari. Elle s'adresse à lui par son nom (et en vieux japonais) et l'appelle "jeune maître". Plus tard, un de ses amis tente de le tuer, visiblement possédé par une entité obscure, l'intervention in-extremis d'Himari, Katana en main et transformée en femme chat, le sauve. Himari révélera à Yuuto qu'il est l'ultime héritier des Amakawa une des douze famille protégeant l'humanité des démons. Il possède le pouvoir de la lame de lumière capable d'amplifier ses sens et ses réflexes (ou ceux d'un autre), ou de transformer une arme pour la rendre invincible et faire d'un simple bâton un bouclier surpuissant. Un grand pouvoir mais difficile à maîtriser. Himari est là à la fois en tant que garde du corps et comme professeur.
Reste deux problèmes : Yuuto est un gentil garçon qui préférerait éviter les combats. Deuxièmement, il est allergique aux chats ( et Himari est un démon chat) !
Ah, troisième problème : la plupart de ses adversaires sont des jolies filles qui une fois épargnées rejoindront son "harem". Traîner derrière soi une dizaine de filles plus mignonne les unes que les autres est un calvaire (contrairement à ce que l'on pourrait croire)... surtout si se sont des démones ou des sorcières jalouses et vindicatives !
Mon avis : je l'ai déjà dis mais "ecchi" (érotique) et "harem" évoque pour moi des navets sans nom. C'est vrai dans 90% des cas, Onamori Himari sort du lot pour deux raisons. D'abord il y a beaucoup de second degré. Yuuto passe son temps à se plaindre de la situation : " Pourquoi cela m’arrive à moi, je ne suis pas un personnage de manga ( de jeu de rôle, d'anime, de jeu vidéo etc... )" Cette ironie évite le côté "on prend au sérieux une situation qui ne l'est pas et ne peut pas l'être" que l'on retrouve dans de nombreux mangas de ce type. Le côté systématique de "l'enrôlement dans le harem de Yuuto" finit par amuser. En fait, c'est aussi du second degré. Chaque fois que Yuuto aide ou combat une jolie créature, on sait qu'elle va tomber dans ses bras.
Ensuite : la dévotion d'Himari est touchante. Elle est à la fois sa servante, liée par un pacte, et une jeune fille amoureuse. Seulement, juste sous la surface se trouve deux autres Himari, tout aussi réelles. L'une est une "chatte folle du matou" ( dans un épisode, blessée, elle prend un médicament qui amplifie son pouvoir de guérison... mais fait disparaître ses inhibitions. Elle se comporte comme une chatte en chaleur !). Plus profondément, Himari est un démon appartenant à une espèce féroce et anthropophage ! Sa famille est "domestiquée" depuis des siècles. Toutefois, si un combat devient trop violent Himari peut se transformer en créature féroce incapable de différencier amis et ennemis.
Yuuto le personnage central ( Himari est l'héroïne) est intéressant. Il évite les deux écueils du Shounen : personnage inconsistant ou personnage surpuissant. Une fois remis du choc de la découverte de son pouvoir, Yuuto prend la décision de devenir un pont entre les démons et les humains. Il veut cohabiter avec les démons plutôt que les combattre. Sa position est délicate. Les autres chasseurs de démons tuent indifféremment les créatures agressives et les villages pacifiques. Lui prend le parti de protéger les démons non dangereux, y compris contre d'autres tueurs de démon. S'il maîtrisait son pouvoir il pourrait s'imposer, mais ce n'est pas le cas. Un agent du gouvernement venu lui proposer de se joindre aux unités spéciales anti-monstres lui fait remarquer qu'il ne pourra arriver à instaurer la paix qu'en devenant le roi des monstres ET des humains.
Remarque : il s'agit d'un manga érotique, nudité et propos directe. Il est interdit aux moins de 16 ans. L'animé est plus soft.
Un omamori est une amulette protectrice et Himari est la démone chat qui est l'héroïne de l'histoire, le titre est donc " Himari, l'amulette protectrice".
L'histoire : Yuuto (ou Yuto, selon la traduction) est un adolescent de 16 ans. Il vit seul, orphelin depuis l'âge de sept ans. Sa voisine Reika lui sert à la fois de grande soeur et... (bien qu'il n'ait pas encore compris) de seule unique candidate au titre de petite amie et de futur femme (oui, la petite fait des projets sur le long terme). Yuuto serait un garçon ordinaire s'il n'était pas amnésique et ne portait pas en permanence une amulette protectrice remis par ses grand-parents aujourd'hui décédés.
Tout change le jour de ses seize ans. La boule dans le sachet de soie de son amulette disparaît. puis, sur le chemin de l'école, il rencontre une belle jeune fille du nom d'Himari. Elle s'adresse à lui par son nom (et en vieux japonais) et l'appelle "jeune maître". Plus tard, un de ses amis tente de le tuer, visiblement possédé par une entité obscure, l'intervention in-extremis d'Himari, Katana en main et transformée en femme chat, le sauve. Himari révélera à Yuuto qu'il est l'ultime héritier des Amakawa une des douze famille protégeant l'humanité des démons. Il possède le pouvoir de la lame de lumière capable d'amplifier ses sens et ses réflexes (ou ceux d'un autre), ou de transformer une arme pour la rendre invincible et faire d'un simple bâton un bouclier surpuissant. Un grand pouvoir mais difficile à maîtriser. Himari est là à la fois en tant que garde du corps et comme professeur.
Reste deux problèmes : Yuuto est un gentil garçon qui préférerait éviter les combats. Deuxièmement, il est allergique aux chats ( et Himari est un démon chat) !
Ah, troisième problème : la plupart de ses adversaires sont des jolies filles qui une fois épargnées rejoindront son "harem". Traîner derrière soi une dizaine de filles plus mignonne les unes que les autres est un calvaire (contrairement à ce que l'on pourrait croire)... surtout si se sont des démones ou des sorcières jalouses et vindicatives !
Mon avis : je l'ai déjà dis mais "ecchi" (érotique) et "harem" évoque pour moi des navets sans nom. C'est vrai dans 90% des cas, Onamori Himari sort du lot pour deux raisons. D'abord il y a beaucoup de second degré. Yuuto passe son temps à se plaindre de la situation : " Pourquoi cela m’arrive à moi, je ne suis pas un personnage de manga ( de jeu de rôle, d'anime, de jeu vidéo etc... )" Cette ironie évite le côté "on prend au sérieux une situation qui ne l'est pas et ne peut pas l'être" que l'on retrouve dans de nombreux mangas de ce type. Le côté systématique de "l'enrôlement dans le harem de Yuuto" finit par amuser. En fait, c'est aussi du second degré. Chaque fois que Yuuto aide ou combat une jolie créature, on sait qu'elle va tomber dans ses bras.
Ensuite : la dévotion d'Himari est touchante. Elle est à la fois sa servante, liée par un pacte, et une jeune fille amoureuse. Seulement, juste sous la surface se trouve deux autres Himari, tout aussi réelles. L'une est une "chatte folle du matou" ( dans un épisode, blessée, elle prend un médicament qui amplifie son pouvoir de guérison... mais fait disparaître ses inhibitions. Elle se comporte comme une chatte en chaleur !). Plus profondément, Himari est un démon appartenant à une espèce féroce et anthropophage ! Sa famille est "domestiquée" depuis des siècles. Toutefois, si un combat devient trop violent Himari peut se transformer en créature féroce incapable de différencier amis et ennemis.
Yuuto le personnage central ( Himari est l'héroïne) est intéressant. Il évite les deux écueils du Shounen : personnage inconsistant ou personnage surpuissant. Une fois remis du choc de la découverte de son pouvoir, Yuuto prend la décision de devenir un pont entre les démons et les humains. Il veut cohabiter avec les démons plutôt que les combattre. Sa position est délicate. Les autres chasseurs de démons tuent indifféremment les créatures agressives et les villages pacifiques. Lui prend le parti de protéger les démons non dangereux, y compris contre d'autres tueurs de démon. S'il maîtrisait son pouvoir il pourrait s'imposer, mais ce n'est pas le cas. Un agent du gouvernement venu lui proposer de se joindre aux unités spéciales anti-monstres lui fait remarquer qu'il ne pourra arriver à instaurer la paix qu'en devenant le roi des monstres ET des humains.
Remarque : il s'agit d'un manga érotique, nudité et propos directe. Il est interdit aux moins de 16 ans. L'animé est plus soft.
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Mangas
Ca a l'air sympa!
« Nous piétinerons éternellement aux frontières de l'Inconnu, cherchant à comprendre ce qui restera toujours incompréhensible. Et c'est précisément cela qui fait de nous des hommes. » Isaac Asimov
Re: Mangas
Oui, c'est vrai c'est un manga amusant. Il est bourré de petit gags et d'allusions. L'un des personnages (un esprit de l'eau qui ressemble à une petite fille fraîchement noyée) a l'apparence du fantôme du film d'horreur "The Ring" (la version japonaise, pas le remake).
La fiancée de Yuuto est une sorcière. Lorsqu'il font des recherches sur elle, ils la trouvent mentionnées dans "New of the world" ( un authentique journal consacré aux évènements du monde paranormal). On apprend qu'elle est diplômée d'une école de sorcellerie anglaise. La photo jointe à l'article fait immédiatement penser à Harry Potter. D'autre part, elle a un croisant de lune couché sur le côté tatoué sur le front. Il s'agit de l'emblème de la déesse celte Dana et aussi le Wicka une authentique association de sorcière !
La fiancée de Yuuto est une sorcière. Lorsqu'il font des recherches sur elle, ils la trouvent mentionnées dans "New of the world" ( un authentique journal consacré aux évènements du monde paranormal). On apprend qu'elle est diplômée d'une école de sorcellerie anglaise. La photo jointe à l'article fait immédiatement penser à Harry Potter. D'autre part, elle a un croisant de lune couché sur le côté tatoué sur le front. Il s'agit de l'emblème de la déesse celte Dana et aussi le Wicka une authentique association de sorcière !
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Mangas
L'image de Ubel Blatt en retard:
Made in Japan Expo:
Et l'image complète sans le texte (SPOIL):
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Re: Mangas
J'ai trouvé et acheté les quatre premiers tomes. Le lire en français m'a permis de voir quelques petites choses qui m'avaient échappées. C'est un bon manga avec une ambiance propre. Ce tome va nous faire découvrir le début de la seconde guerre contre les méchants de la série, le vrai danger qui menace le pays. 
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Mangas
Tu lis en Japonais, ou en Anglais?
« Nous piétinerons éternellement aux frontières de l'Inconnu, cherchant à comprendre ce qui restera toujours incompréhensible. Et c'est précisément cela qui fait de nous des hommes. » Isaac Asimov