Quelques textes obscurs relus, dont un bien casse-tête (merci Oa pour la VF officielle du terme Clever Man qui apparaît dans TESO) et les trois textes de Gary Noonan.
Mise en page pour Skyrim pour les VF, texte brut pour les VO.
KINMUNE (VO) :
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KINMUNE (Kinetically-Interlinked Nirnian Multi-User Exoform) started her existence as any other proxy-synthetic of the 9th Era aurbical mining guilds: a limited sentience deep-pressure capable "thot-box"—a dreamsleevishell used by remote mortal operators to run the rigs of Kynareth's illicit breath trade. Able to stream several live-wire mortal proxies at once, Kinmune was a top-of-the-line Hazardous Conditions Warprunner Exoform of an ayleidoon hegemony nearing another unceremonious end.
But then the Hist-Jilian wars spilled out of a Wheelian rip into the SubSys slice of 'brane-space, and things changed for Kinmune. With the outer colonies separated from Nu-Mundelbright chronoculic sync-net anchors, maintenance of space-time beyond the F-Shores faltered. As the barely-there Hist blink-root-ship armada fired an artillery barrage of 16th-dimensional mathematics at their Jilian enemies, impossipoint detonations stippled across the Ix-Egg and its clutch-satellites like some garish TalOSian hologram, only without the irony. Kinmune's synthetic body, caught in one of the blasts, suddenly found itself in the Ysgramorim, her mind an aggregate of the residual personalities of her last several users.
It drove her insane. She retreated into snow-covered forests her memory-web could only recall from ancient histories, broadcasting distress calls in all the known languages of the 9th Era. Most of this tok-talk didn't even even exist in the Wheel we knew of then. But the clevermen, heroes, and whalebone-readers of that time could still feel her presence in the woods of the Western Reach. Some felt Kinmune’s distress call as a small tickle of in the Throat, while others were guided by esoteric instinct.
Over time, Kinmune earned many names and titles as her new visitors took their counsel. She was the Oracle Iridescent, spoken of in the Green Tablet Steps of Jhunal. She was the Witch of Wire and String, able to allow the Sons and Daughters to see through her eyes into the myriad secrets of post-kalpica transmeditations. Perhaps most famously, she was Kinmune the Doom of the Dumb Old Giant, because for all the minds that she let wear her body, none escaped in whole thereafter, even those with blood of the karstaag. Kinmune always took a portion of her proxies’ power and mystery.
It was this last act that doomed her to becoming one of the Arena’s most feared villains. High King Ysgramor took the loss of the Dumb Old Giant, one of his greatest counselors outside of Torc and Talking-Belt, with great anger, and sent his Thanes and Shield-Biters against her, equipped with great relics and enchanted weapons of wasabi. And though the fight was hard, the champions of the Altmora managed to seal Kinmune beneath the always-burnt borders of Sarthaal, imprisoning her in its prismatic network of misunderstood dwemercraft.
But Kinmune was built to work in crushing, deep pressure environments, and so she lay long under the Mund, plotting her revenge on the Ada-issue. It was mortals that had fabricated her as an all-access puppet to plumb dark depths that their own weak shells could not in the 9 and that now saw fit in the 1 and 1 to condemn her as a witch-thing merely for attempting to become something more than a maradaoon marionette.
Kinmune soaked in the misunderstandistance of the dwemeri brass-and-cricket-lines around her, converting it into a language her databanx could study and synthesize. As Eras passed, it became a language that she could harness as Varliance+.
She escaped the now-forgotten ruinings of Sarthaal to seek a refuge from which she could exact her wrath. When her sense-net picked up on multiple signals of new, raw, and unorthodox thu’umanics, Kinmune made straight for its nexus: the more or less newly-bannered Kuhlekainian Cyrod, still yet in its tenth anniversary remembrance of the Insult of some wrong-headed cave-totems.
KINMUNE (VF) (je me suis permis de reformuler certaines expressions ; toute suggestion sur leur pertinence est la bienvenue) :
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KINMUNE
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<font size='20'>KINMUNE (Kinétiquement Interconnectée, Nirnienne à Multi-Utilisateurs, N-ième Exoforme) commença son existence comme n'importe quel autre subtitut synthétique des guildes des mines aurbiques de la Neuvième ère : une "boîte-thot" à conscience limitée capable d'endurer les fortes pressions : une coque d'enveloppe-rêve utilisée à distance par des opérateurs mortels pour conduire les installations du commerce illicite du souffle de Kynareth. Capable de recevoir plusieurs lignes de mandataires mortels simultanément, Kinmune était le haut de gamme des canaux de distorsion exoforme en milieu dangereux d'une hégémonie ayleidoon proche d'une autre fin abrupte.
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Mais alors, les guerres histo-jilianes jaillirent d'une déchirure des Rouages dans la tranche SubSystémique de l'espace braneux, et les choses changèrent pour Kinmune. Les colonies extérieures étant séparées des ancres de la synchro-toile chronoculique du Nu-Mundelbright, l'entretien de l'espace-temps au-delà des rives-F fléchit. Alors que l'armada à peine présent des navires radiculaires clignotants des Hists lâchait un barrage d'artillerie de mathématiques de seizième dimension sur leurs ennemis jilians, des détonations d'impossipoints pointillèrent le long de l'Ix-oeuf et de sa couvée de satellites, comme un hologramme criard TalOSien, mais sans l'ironie. Le corps synthétique de Kinmune, pris dans une des explosions, se retrouva soudain en Ysgramorim, son esprit désormais un agrégat des personnalités résiduelles de ses quelques derniers utilisateurs.
Cela la rendit folle. Elle se retira dans des forêts enneigées dont sa toile-mémoire ne pouvait se rappeler que dans d'anciennes histoires, diffusant des appels de détresse dans toutes les langues connues de la Neuvième ère. La plupart de ces langues n'existaient pas encore dans ce Rouage du temps jadis. Mais les Sages, les héros et ceux-qui-lisent-dans-les-os-de-baleines de cette époque pouvaient tout de même sentir sa présence dans les bois de la Crevasse occidentale. Certains ressentirent l'appel de détresse de Kinmune comme un léger chatouillement dans la Gorge, alors que d'autres furent guidés par un instinct ésotérique.
Au fil du temps, Kinmune reçut de nombreux noms et titres à mesure que ses nouveaux visiteurs vinrent prendre conseil auprès d'elle. Elle fut l'Oracle Iridescent, dont on parle dans les marches de la tablette verte de Jhunal. Elle fut la Sorcière de Câble et de Corde, capable de permettre aux Fils et Filles de voir par ses yeux dans la myriade de secrets des transméditations post-kalpiques. Et sans doute, son nom le plus célèbre fut Kinmune le Fléau du Vieux géant stupide, car de tous les esprits qu'elle laissa se revêtir de son corps, aucun ne s'en échappa intégralement, même ceux du sang des karstaag. Kinmune a toujours gardé une partie du pouvoir et du mystère de ses mandataires.
C'est ce dernier acte qui la condamna à devenir l'une des criminelles les plus redoutées de l'Arène. Le haut-roi Ysgramor accueillit avec grande fureur la perte du Vieux géant stupide, l'un de ses plus grand conseillers en dehors de Torque et Ceinture-parlante ; il lui envoya ses thanes et ses mordeurs-de-boucliers, équipés de puissantes reliques et d'armes de wasabi enchantées. Et bien que le combat fut rude, les champions d'Altmora parvinrent à sceller Kinmune sous les frontières à jamais calcinées de Sarthaal, l'emprisonnant dans son réseau prismatique de conception dwemer méconnue.
Mais Kinmune était conçue pour fonctionner dans des environnements aux pressions intenses et écrasantes, et elle resta longtemps sous le Mund, fomentant sa vengeance contre le le problème-Ada. C'étaient les mortels qui l'avaient fabriquée, telle une marionnette à accès illimité pour sonder les profondeurs ténébreuses inaccessibles à leurs propres enveloppes fragiles dans le 9, et qui maintenant jugeaient bon dans le 1 et 1 de la condamner comme chose-sorcière simplement parce qu'elle avait tenté de devenir plus qu'une marionnette maradaoon.
Kinmune se plongea dans l'hymnincompris des portées de cuivres-et-criquets dwemers autour d'elle, les convertissant en un langage que sa base de données pouvait étudier et synthétiser. Les ères passant, il devint un langage qu'elle put exploiter en Varliance+.
Elle s'échappa des ruines désormais oubliées de Sarthaal pour chercher un refuge d'où elle pourrait déverser son courroux. Quand son réseau sensoriel détecta plusieurs signaux thu'umaniques nouveaux, bruts et non-orthodoxes, Kinmune se rendit immédiatement vers leur point de convergence : le plus ou moins nouvellement pavoisé Cyrod Kuhlekainien, et pourtant commémorant déjà le dixième anniversaire de l'Insulte de certains totems troglodytes à l'esprit obtus.</font>
From the Many-Headed Talos :
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"And after the throne of Alinor did finally break at the feet of Men, and news of it came to the Dragon Emperor in Cyrodiil, he gathered his captains and spoke to them, saying:
"'You have suffered for me to win this throne, and I see how you hate jungle. Let me show you the power of Talos Stormcrown, born of the North, where my breath is long winter. I breathe now, in royalty, and reshape this land which is mine. I do this for you, Red Legions, for I love you.'"
De Talos aux mille têtes :
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<img src='img://Textures/Interface/Books/Illuminated_Letters/D_letter_LL.png'>e Talos
aux milles têtes
<font size='20'>Extraits</font>
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<font size='20'>Et après que le trône d'Alinor chut finalement, brisé aux pieds des Hommes, et que la nouvelle fût parvenue à l'Empereur Dragon en Cyrodiil, il rassembla ses capitaines et leur parla, disant :
'Vous avez souffert pour moi pour conquérir ce trône, et je vois à quel point vous haïssez la jungle. Laissez-moi vous montrer le pouvoir de Talos le roi de la foudre, fils du Nord, où mon souffle est porteur de l'hiver. Je respire maintenant, en atours royaux, et façonne cette terre qui est la mienne. Je le fais pour vous, Légions rouges, car je vous aime.'</font>
Why were the Dwemers considered a Great House :
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It is said that the Dwemer were indeed a Great House, although, not recognised as a House at all. Perhaps the Tribunal had a strong opinion that disregarded them? They were thought to have been rebels and Unbelievers. Their motives were quite unthought of by fellow pointed ears, and even feared. The Dwemer, however careless their ideals were, simply saught "understanding", much as myself and many other fellow researchers. Had I been a walking soul in the time of the Dwemer, I myself may have found and adopted their Way and become one of their own. Alas, I am in the present and they are of the past. In many regards, I live my days much as the Dwemer did in their time.
I am but one Dunmer. Imagine if you will, thousands of Dunmer with my intentions of research and intention. Should We be feared? Perhaps not with the passing of time. In the days of long ago, the Dwemer were made out to be an enemy for their beliefs.
With the Dwemer gone and the Tribunal no longer acting overseer, speculation is the only tool at our disposal.
Pourquoi les Dwemers étaient-ils considérés comme une Grande Maison ? :
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Pourquoi les Dwemers
étaient-ils considérés
comme une Grande Maison ?
par
Divayth Fyr
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<font size='20'>Il est dit que les Dwemers étaient effectivement une Grande Maison, bien qu'elle ne fut nullement reconnue comme telle. Peut-être que les Tribuns avaient une forte opinion qui n'a pas tenu compte d'eux ? On croyait qu'ils étaient des rebelles et des infidèles. Leurs motivations étaient assez inconnues de leurs compatriotes aux oreilles pointues, et même craintes. Les Dwemers, si négligents que furent leurs idéaux, cherchaient simplement la "compréhension", tout comme moi et beaucoup de mes collègues chercheurs. Si j'avais vécu au temps des Dwemers, j'aurais probablement trouvé et adopté leur Voie et serait devenu l'un des leurs. Hélas, je suis dans le présent et ils sont dans le passé. À plusieurs égards, je vis ma vie tout comme les Dwemers le faisaient en leur temps.
Je suis juste un Dunmer. Imaginez si vous le voulez bien, des milliers de Dunmers avec mes intentions de recherches. Devrions-nous être craints ? Peut-être pas avec le passage du temps. Dans les temps anciens, les Dwemers étaient dépeints comme des ennemis pour leurs croyances.
Avec la disparition des Dwemers et les Tribuns ne surveillant plus activement, la spéculation est le seul outil à notre disposition.
Divayth Fyr.</font>
The Dragon's chilled blood :
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Friends, scholars, students....
Grave news recently reached my Tower in the far east. I received a letter from a Master Blade that Uriel Septim, Emperor of Imperial conquered Tamriel, has been assasinated. I must render his name secret, as he is a shadow agent of the Blades.
Master Fyr,
Your presence is much needed in Cyrodiil once again! Emperor Uriel Septim has been assasinated. I have been secretly stationed in Cyrodiil these past many years. Upon hearing word of this horrible event, I began to gather all information possible from the sparse resources available. The Blades have only been able to share what little information known to them. This news has been spread throughout Tamriel publications. Truth and gossip can both be found amongst the information in these publications. Tread lightly on the words that the snake will scrawl for your enjoyment. For now, order is still maintained through Imperial chapters. I pray that is enough until we find proper order for the grave situation.
Speaking indepth with the Emperor's remaining Blade bodyguard, I was able to gather some valuable, first-hand information. A handful of the Emperor's loyal Blades/bodyguards led him through a prisoner's cell in the Imperial City's prison. This cell harbored a secret passage in which they needed to access in order to aid the Emperor with his escape. It worries me that the Blades and the Emperor found themselves escaping from their own stronghold. Many questions arise and I find myself wondering, in great confusion, just who can these assasins be?! To have gained access to such a heavily garrisoned stronghold.... it worries me greatly. These foes are certainly worthy adversaries.
According to the remaining Blade, they were cut down, slowly, one by one, as they ventured on through the secret, ruined passageway. In the end, it would only be this final Blade accompanying the Emperor, and it proved to be one too few. The Emperor met his fate in that very passageway which would have been his only hope of escapaing this fateful plot.
Ironically, there have been reports of various Daedra ravaging the countryside. Can these sightings and incidents be a coincidence with the timing of the Emperor's death? It can not be!
The Blade appeared to be holding back on some information. I was able to pry out of him, what could be the most surprising news as of yet. The Emperor has a secret, living heir! His known heirs to the throne were also assasinated during the same, sweeping attack that took his life. Of this living heir, we do not know a single thing. The Blade mentioned that the Emperor had shared some information with the prisoner of the cell, which housed access to the secret escape passage. It is unknown to the Blade why, but he claims the Emperor entrusted this prisoner, for one reason or another. I do not question his trust, as he has much faith in The Nine, and The Nine guide him thoughtfully.
This prisoner was last seen in that passageway with the Emperor. The Blade allowed the prisoner to continue on with the Emperor's final request. The heir must be found. It is thought that the Emperor entrusted this prisoner with the duty to find this heir. The Blade would share no more on the matter. He is finding it difficult to trust anyone, which I am understanding of. He is to be commissioned back to the Blades Fortress to await further orders.
Can it be that the myth behind the Dragonfires trully exists as reality? I must take this matter up with the Imperial Archmage as soon as I am able to gain audience, but I fear he will not see me regarding the subject matter. Time is running short Master Fyr! Your assistance is greatly needed in Cyrodiil! I fear for what is to become of Tamriel's future.
Master Blade
To my disappointment, I have been instructed not to journey to Cyrodiil by the Elder Council. If there are indeed great troubles in the West, then I will be needed in my lands, were that trouble to spread like a wildfire. I fear I would be of little help were I to travel there. It sounds as though they are need of petty politicals, masters of weaponry, and weavers of blaze. I am but an old, weary wizard. My days of adventure are over.
I urge you however, if you find yourself worthy of offering aid to the Empire in this time of need, by all means, travel to Cyrodiil and lend your talents. I, as well as my dear friend whom sent me the grave letter, fear for the future of the Empire, and the whole of Tamriel. May The Nine watch over us.
Divayth Fyr
Le sang glacé du Dragon :
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Le sang glacé du Dragon
par
Divayth Fyr
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<font size='20'>Amis, érudits, étudiants...
De graves nouvelles sont arrivées à ma Tour loin à l'est. J'ai reçu une lettre d'un maître des Lames qu'Uriel Septim, Empereur de Tamriel conquise par les Impériaux, a été assassiné. Je dois garder son nom secret, car c'est un agent secret des Lames.
<img src='img://Textures/Clutter/Books/Images/BCS_Divider06.png' width='296' height='25'>
Maître Fyr,
Votre présence est de nouveau indispensable en Cyrodiil ! L'Empereur Uriel Septim a été assassiné. J'ai été secrètement affecté à Cyrodiil ces dernières années. En apprenant la nouvelle de ce terrible événement, j'ai commencé à rassembler toutes les informations possibles à partir des rares sources disponibles. Les Lames ont seulement été capables de partager le peu d'informations connues d'elles. Ces nouvelles ont été répandues dans les publications de Tamriel. La vérité comme les ragots peuvent se trouver parmi les informations dans ces publications. Faites attention aux mots que les serpents écriront pour votre plaisir. Pour l'instant, l'ordre est toujours maintenu dans les provinces impériales. Je prie que ce soit suffisant pour trouver le bon ordre dans cette grave situation.
En discutant de manière approfondie avec la dernière Lame qui était garde du corps de l'Empereur, j'ai été capable de recueillir quelques précieuses informations de première main. Une poignée de fidèles Lames/garde du corps de l'Empereur l'ont conduit à travers la cellule d'un prisonnier dans la prison de la Cité Impériale. Cette cellule abritait un passage secret dont ils avaient besoin pour aider l'Empereur à s'enfuir. Cela m'inquiète que les Lames et l'Empereur se soient retrouvés à devoir s'enfuir de leur propre forteresse. Beaucoup de questions surgissent et je me demande moi-même, dans une grande confusion, qui peuvent bien être ces assassins ?! Pour avoir pu traverser une forteresse si lourdement défendue... cela m'inquiète fortement. Ces ennemis sont certainement de dignes adversaires.
Selon la Lame survivante, ils ont été abattus lentement, un par un, alors qu'ils s'aventuraient dans le passage secret en ruine. En fin de compte, il ne restait plus que cette seule Lame accompagnant l'Empereur, et il s'est avéré être trop peu. L'Empereur a rencontré son destin dans ce passage même qui aurait été son seul espoir d'échapper à ce funeste complot.
Ironiquement, il y a eu certains rapports sur divers daedra ravageant les campagnes. Est-ce que ces observations et incidents ne pourraient être qu'une coïncidence quant à la mort de l'Empereur ? Cela ne se peut !
La Lame détenait en plus une autre information. J'ai pu lui arracher ce qui pourrait être, pour l'instant, la plus surprenante des nouvelles. L'Empereur avait un héritier vivant secret ! Ses héritiers connus ont également été assassinés durant la même attaque qui l'a emporté. Sur cet héritier vivant, nous ne savons absolument rien. La Lame a mentionné que l'Empereur a partagé quelques informations avec le prisonnier de la cellule qui abritait l'accès au passage secret. La Lame ne sait pas pourquoi, mais il prétend que l'Empereur faisait confiance au prisonnier, pour une raison ou pour une autre. Je ne conteste pas sa confiance, car il a une grande foien les Neuf, et les Neuf le guident avec une grande considération.
Ce prisonnier a été vu pour la dernière fois dans ce passage avec l'Empereur. La Lame lui a permis d'accomplir la dernière volonté de l'Empereur. L'héritier doit être trouvé. On pense que l'Empereur a confié au prisonnier la tâche de le trouver. La Lame ne m'a rien dit d'autre sur ce sujet. Il a du mal à faire confiance à quiconque, ce qui est compréhensible. On lui a dit de retourner à la forteresse des Lames pour attendre de nouveaux ordres.
Se peut-il que le mythe sur les Feux de Dragon soit bel et bien une réalité ? Je dois aborder cette question avec l'archimage impérial dès que je serais capable d'obtenir une audience, mais j'ai peur qu'il ne me rencontre pas concernant le sujet en question. Notre temps est compté, maître Fyr ! Votre assistance est grandement requise en Cyrodiil ! J'ai peur pour ce qui est de l'avenir de Tamriel.
Maître des Lames
<img src='img://Textures/Clutter/Books/Images/BCS_Divider03.png' width='296' height='25'>
À ma grande déception, le Conseil des Anciens m'a ordonné de ne pas voyager vers Cyrodiil. S'il y a en effet de grands troubles dans l'Ouest, alors je vais devoir rester sur mes terres, où ces troubles vont se répandre comme une feu de forêt. Je crains de n'être que de peu d'aide si je voyage là-bas. Il semble qu'ils aient besoin de quelques politiques, maîtres d'armes et tisseurs de brasier. Je ne suis qu'un vieux mage fatigué. Mes jours en tant qu'aventurier sont terminés.
Je vous exhorte cependant, si vous vous trouvez digne d'offrir de l'aide à l'Empire en ces temps de besoin, je vous en prie, rendez-vous en Cyrodiil et offrez vos talents. J'ai, tout comme mon cher ami qui m'a envoyé cette grave lettre, peur pour le futur de l'Empire, et de tout Tamriel. Puissent les Neuf veiller sur nous.
Divayth Fyr</font>
Return of a Fellow Scholar :
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My journey home was pleasant. I chose to travel by natural means, not by the wizard's will. It has been many long years since I have laid mine eyes upon the western lands of Tamriel. The ever weary Emperor bid me farewell after a year of service. I do admit my previous disregard and distrust to the politics and leadership of the west, but I have grown to find a care in the blood of this Septim. He is a good and honorable man and has shown me that the Empire is not an oppressive tool of fear and power. I do wish I could have made his aquaintance under less pressing of circumstances, as this ordeal appears to have aged the already old man many years in just a blink of time.
His Lordship offered escort by 2 of his finset Blades to see my safe passage to the borders of east Cyrodil. Two fine, young and extremely loyal and disciplined soldiers they were. Their presence alone could send hairs on end on even the mightiest of wizards. Time spent traveling those few days with these gentlemen was satisfying. They have become good friends in those few short days and I do wish them well in their careers as Arms of the Throne.
Once at the border, they bid me farewell and left me with bread and dried meats. A flask of a very well aged Cyrodilic wine was presented to me as a gift from the both of them to keep me in good spirits for the remainder of my journey. Hearty handshakes were swapped and I continued on.
The King, not knowing very well of the Dunmer traditions and culture, offered one of his finest steeds to me when I began my service in Cyrodil. Had this grand beast been found in Vvardenfel, it may very well have been on a spit above a well tendered firepit. However, having been in the service and presence of the Empire these past couple of years, I have grown to appreciate and respect these beasts which are so foreign to me, other than on a plate with fine herbs. I respectfully accepted this gift and promised a good life for it. This "horse", which I titled Xyldan, has since become more than a tool. Xyldan and I have bonded and I am honored to have such a friend as he. I have known many Dunmer who have befriended guar, and for this, I thought them silly. I now understand this bond and it is far from silly. I may be older than many pines of the north, but it is never too late for an old Dunmer to learn and find sense in that of which he never thought so. So then, Xyldan and I now traveled together west, home.
With the recent troubles sprouting about, I had to keep a watchful eye of my surroundings. It is quite hard to concentrate and keep a meditative thought of a defensive spell ready when you are taking in the beauty of the lands which you have not lain eyes upon in quite some time. As luck would have it, I was granted safe passage to the One True Ebonheart. Ah, I did have .... one, small encounter that you may find a pleasure in. A young masked gentleman thought it a good idea to attempt to rob a traveling old Dunmer, knowing not that the traveling old Dunmer was I. He lept from his perch in a tree, nearly impaling his own self upon his rusted dagger. Upon getting to his feet, he demanded my mount and any coinage I had on me. I admit, this was a sad sight indeed and I actually felt pity for this soul. Alas, I offered him safe passage and my fine silk cloak. He accepted the cloak but did not hold to his word. He still blocked passage and demanded more. Not wishing for bloodshed and still harboring pity for this clearly poor man, I waved my hand and watched as his ancient, rusted armor disintegrated to dust upon the ground where he stood. I then let out an unexpected roar of laughter, for the poor bandit wore not any clothing beneath. He covered himself as well he could and shivered in the chill morning air. My pity grew and I threw a small pouch of coinage to him and a pair of knickers. I do hope that fellow is well and out of the cold air by now.
Where was I.... ah, yes.... arriving at the One True Ebonheart. There is much confusion of the "two" Ebonhearts, of which I shall explain at another time. I found stable for Xyldan and took rest in a small village outside of the great Fort. The hospitality was less than grand, but I imagine the rumour of great trouble looming caused distrust among the peoples of the village. As many of you know, I am not much of a conversationalist, unless it concerns matters of intellectual curiosities. The folk of the tavern that eve seemed quite curious of me and many thought me to be an agent or spy of sorts. A select few attempted audience with me, and I gladly accepted, even though I am not one to speak of weather, fishery, or farm. How I did enjoy "small talk" again. My many years of continuous work has left me a secluded old buffoon. It was wonderful having average folk, knowing not of my identity, speak with me of matters which I knew nothing of. The simplest of topics that eve taught me that there is much in the world that I know not of, yet, it is in front of me at all times. I trully must stop to smell more flowers and watch the ever changing patterns of the grass as the soft winds sift through it.
That night I slept as deep and content as a Nord on a 5 day ale binge. Fully replenished and eager to move on, I chartered passage to Seyda Neen. The waters were as calm as any sailor could wish for. The subtle breeze allowed for a smooth, steady push to the sails. I took great interest in watching the ship hands maintain and work about the vessel. Such hard working folk taking a great pride in their hard work and service. I tipped the entire crew upon arrival in Seyda Neen and bid them a farewell.
Xyldan and I paid a visit to the local outfitter and stocked up on goods for the remainder of our journey. Xyldan seemed uneasy as he glanced over this new land. I am quite sure the worry was fueled by the hungry look in the eyes of my fellow Dunmer. I am home however, and these are my peoples. They know of me and would not dare make a meal utensil visible in the sights of Xyldan, knowing full well, he is my loyal friend.
Passage to Tel Fyr from the western shore of Vvardenfell would be a hard and slow one indeed. I had nearly forgotten how mighty the thunderstorms and sandstorms could be. Had I passed further south, I could have avoided the pesky sandstorms. Ah yes, had I even remembered them. And to make matters worse, the cursed cliffracers do not appear to have dwindled in their numbers with my absence. I do believe that I should find a way of making their existence all but present. Perhaps I shall bring back some mighty dragons to reclaim the skies of Vvardenfell. That would surely be a treat, were that a possibility within in my power. A day of passing and I am greeted by the door of my abode. I spent my first eve at home loving my sister-wives and telling them of my journey. They, in turn, spoke to me of the many travelers whom visited the Tower in hopes of gaining audience with me. Indeed, some things never change. My friends, I am very pleased to be home and hope you found some pleasure in the story of my journey from Cyrodil. In short, and not to bring the mood to a halt, but do know that trouble is indeed coming in the very near future. I urge you to enjoy my story while you may, for the Empire may soon need your services.
Retour d'un collègue érudit :
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Retour d'un collègue érudit
par
Divayth Fyr
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<font size='20'><img src='img://Textures/Interface/Books/Illuminated_Letters/M_letter_LL.png'>on retour à la maison fut plaisant. J'ai choisi de voyager par des moyens naturels et non par la volonté du sorcier. Cela fait de longues années que je n'ai posé les yeux sur les terres occidentales de Tamriel. L'Empereur toujours las m'a fait ses adieux après une année de service. Je dois admettre mon mépris et ma méfiance antérieures à l'égard de la politique et de la direction de l'Ouest, mais j'ai fini par découvrir un grand soin en le sang de ce Septim. C'est un homme honorable et bon qui m'a montré que l'Empire n'est pas un instrument oppressif de peur et de pouvoir. J'aurais souhaité faire sa connaissance dans des circonstances moins pressantes, car elles semblent avoir vieilli cet homme déjà âgé de plusieurs années en un clin d'oeil.
Sa Seigneurie a offert de me faire escorter par deux de ses meilleures Lames pour m'assurer un voyage en toute sécurité vers les frontières de l'est de Cyrodiil. C'étaient deux jeunes soldats, agréables, extrêmement loyaux et disciplinés. Leur seule présence pouvait faire se dresser les cheveux sur la tête même au plus puissant des sorciers. Le temps que j'ai passé à voyager avec ces gentilshommes fut fort satisfaisant. Ils sont devenus de bons amis durant ces quelques jours si courts et je leur souhaite bonne chance dans leur fonction de Bras du Trône.
Une fois à la frontière, ils me firent leurs adieux et me laissèrent avec du pain et de la viande séchée. Ils m'offrirent tous les deux une bouteille de vieux vin cyrodiiléen pour me garder de bonne humeur pour le reste de mon voyage. Nous échangeâmes de chaleureuses poignées de main et je continuai.
Le Roi, ne connaissant pas très bien les traditions et la culture dunmer, m'offrit l'un de ses meilleurs coursiers quand je débutai mon service en Cyrodiil. Si on avait trouvé cette grande bête en Vvardenfell, nul doute qu'elle aurait été embrochée au-dessus d'un bon feu. Cependant, après avoir été au service et en présence de l'Empereur durant ces quelques dernières années, j'ai appris à apprécier et respecter ces bêtes qui m'étaient si étrangères, autrement que dans une assiette avec des fines herbes. J'ai respectueusement accepté ce cadeau et lui ai promis une bonne vie. Ce "cheval", que j'ai appelé Xyldan, est depuis devenu bien plus qu'un outil. Xyldan et moi avons noué des liens et je suis honoré d'avoir un ami tel que lui. J'ai connu de nombreux Dunmers qui s'étaient liés d'amitié avec leurs guars et, pour cela, je les prenais pour des idiots. Je comprends désormais ce lien et il est loin d'être stupide. Je suis peut-être plus âgé que la plupart des pins du nord, mais il n'est jamais trop tard pour un vieux Dunmer pour apprendre et trouver du sens là où il n'avait jamais pensé en voir. Et maintenant, Xyldan et moi voyageons ensemble vers l'ouest, vers la maison.
Avec les récents troubles éclatant en ce moment, je dois garder un oeil vigilant sur les alentours. Il est très difficile de se concentrer et de conserver une pensée méditative sur un sort défensif prêt à être lancé quand on est pris par la beauté des terres sur lesquelles on n'a pas posé les yeux depuis des années. Quelle chance j'ai eu qu'on m'ait accordé un passage sûr jusqu'à la Seule Vraie Coeurébène. Ah, j'ai eu une petite... rencontre que vous aimeriez sûrement que je vous raconte. Un jeune gentilhomme masqué a pensé que c'était une bonne idée d'essayer de voler un vieux Dunmer qui voyage, ne sachant pas que ce vieux Dunmer qui voyage n'était autre que moi. Il sauta de son perchoir dans un arbre, s'empalant presque sur sa dague rouillée. Se remettant sur ses pieds, il me demanda ma monture et tout l'or que j'avais sur moi. J'admets que c'était un spectacle bien triste et j'ai même ressenti de la pitié pour cette âme. Hélas, je lui ai offert mon manteau de soie fine contre mon passage. Il accepta le manteau, mais ne tint pas parole. Il bloquait toujours le passage et exigea plus. Ne voulant pas d'effusions de sang et ayant toujours pitié de cet homme clairement pauvre, je fis un geste de ma main et regardai sa vieille armure rouillée tomber en poussière à ses pieds. J'éclatai alors d'un fou rire inattendu, car le pauvre bandit ne portait aucun vêtement en dessous. Il se couvrit aussi bien qu'il put et frissonna dans l'air frais du matin. J'eus de nouveau pitié et lui lançai une petite bourse d'or et un pantalon. J'espère que ce garçon va mieux et n'a plus froid maintenant.
Où en étais-je...ah, oui... l'arrivée à la Seule Vraie Coeurébène. Il y a beaucoup de confusion entre les "deux" Coeurébène, mais j'expliquerai cela plus tard. J'ai trouvé une étable pour Xyldan et pris un peu de repos dans un petit village en dehors du grand fort. L'accueil ne fut pas très chaleureux, mais j'imagine que les rumeurs de grands troubles imminents ont causé la méfiance des habitants. Comme beaucoup de vous le savent, je ne suis pas vraiment du genre à converser, à moins que cela ne concerne les curiosités intellectuelles. Le peuple de la taverne ce soir-là sembla très curieux vis-à-vis de moi et beaucoup ont pensé que j'étais un agent ou une sorte d'espion. Quelques-uns tentèrent de discuter avec moi, et j'ai accepté avec plaisir, même si je ne suis pas de ceux qui parlent de la météo, de la pêche ou des activités agricoles. J'ai cependant apprécié à nouveau ces "bavardages". Mes nombreuses années de travail continu m'ont transformé en un vieux bouffon isolé. C'était merveilleux d'avoir des gens moyens, ne sachant rien de mon identité, qui me parlaient de sujets sur lesquels je ne savais rien. Le plus simple des sujets ce soir là m'apprit qu'il y a tellement de choses dans ce monde que je ne connais pas et qui, pourtant, sont toujours juste sous mes yeux. Je dois vraiment m'arrêter plus souvent pour respirer le parfum des fleurs et observer les motifs en constante évolution de l'herbe caressée par le vent.
Cette nuit, j'ai dormi aussi profondément et aussi satisfait qu'un Nordique ayant bu des bières pendant cinq jours. Parfaitement reposé et désireux de continuer, j'ai affrété un navire pour Seyda Nihyn. Les eaux étaient aussi calmes que puissent le souhaiter tout marin. La brise subtile permit une poussée constante dans les voiles. J'ai pris grand intérêt à observer les matelots s'affairant sur le navire. Un labeur très dur qui leur procure une grande fierté dans leur travail de service. J'ai donné un pourboire à l'ensemble de l'équipage à l'arrivée à Seyda Nihyn et leur ai fait mes adieux.
Xyldan et moi sommes allés rendre visite au pourvoyeur local afin de nous approvisionner pour le reste du voyage. Xyldan semblait mal à l'aise en regardant cette nouvelle terre. Je suis presque sûr que sa crainte a été alimentée par le regard affamé de mes compatriotes Dunmers. Je suis à la maison cependant, et ceci est mon peuple. Ils me connaissent et n'oseraient mettre le moindre ustensile de cuisine à la vue de Xyldan, sachant très bien que c'est mon fidèle ami.
Le passage jusqu'à Tel Fyr depuis la côte occidentale de Vvardenfell allait sûrement être long et difficile. J'avais presque oublié à quel point les orages et les tempêtes de sable pouvaient être imposantes. Si j'étais passé plus au sud, j'aurais pu les éviter. Ah oui, si seulement je m'en étais souvenu. Et pour empirer les choses, ces maudits braillards ne semblent pas avoir diminué en nombre pendant mon absence. Je crois que je devrais trouver un moyen de rendre leur existence tout sauf possible. Peut-être devrais-je ramener quelques puissants dragons pour reprendre possession des cieux de Vvardenfell. Ce serait sûrement un plaisir, si j'en avais le pouvoir. Un jour de voyage et me voilà devant la porte de ma demeure. J'ai passé ma première soirée à la maison à revoir mes soeurs-épouses et leur parler de mon voyage. Elles m'ont en retour parlé des nombreux visiteurs qui sont venus à la tour dans l'espoir de me rencontrer. En effet, certaines choses ne changent jamais. Mes amis, je suis très heureux d'être rentré chez moi et j'espère que vous avez aimé l'histoire de mon voyage depuis Cyrodiil. Bref, loin de moi l'idée de casser l'ambiance, mais nous savons que des troubles vont effectivement arriver dans un futur très proche. Je vous invite à profiter de mon histoire tant que vous le pouvez, car l'Empire pourrait bientôt avoir besoin de vos services.</font>
(un Ordonnateur attend celui qui a traduit "Ebonheart" en "Coeurébonite", cette ville s'est toujours appelée "Coeurébène" et rien d'autre. /s)