
Armes et armures "historiques"
Re: Armes et armures "historiques"
Hors-sujet
Les éditeurs sont vraiment des débiles profonds ils te publient des romans à deux balles et des biographies de merde mais dès que tu veux faire publier un livre de culture ou d'histoire on te le refuse direct
.en tout cas j'espère franchement qu'un jour on te publiera

Re: Armes et armures "historiques"
Hors-sujet
Je sais... mais c'est long, c'est tellement long et je sais que si je continue à envoyer mes livres par la poste ou par internet, je continuerais à recevoir des réponses négatives. Je ne crois pas que quelqu'un peut comprendre sans l'avoir vécu à quel point une réponse négative peut faire mal. On pourrait croire que je suis blindé depuis le temps, c'est tout le contraire...
Au début, il y a plus de 15 ans, lorsque l'on envoyait un manuscrit, l'éditeur vous le renvoyez truffé de corrections. j'avais des correcteurs que je connaissais qui e soutenaient, qui me disaient quoi faire.
Une fois, j'ai même réussit à placer un livre jusqu'au directeur de collection, la dernière personne à pouvoir décider d'accepter un livre. Et il a refusé de le publier...
Depuis, plus personne n'a seulement daigner répondre à mes courriers.
Ce qui me fait le plus mal, c'est que j'ai souvent l'impression - au moment de poster mes livres - que je les jette dans la cuvette des WC et que je tire la chasse.
Au début, il y a plus de 15 ans, lorsque l'on envoyait un manuscrit, l'éditeur vous le renvoyez truffé de corrections. j'avais des correcteurs que je connaissais qui e soutenaient, qui me disaient quoi faire.
Une fois, j'ai même réussit à placer un livre jusqu'au directeur de collection, la dernière personne à pouvoir décider d'accepter un livre. Et il a refusé de le publier...
Depuis, plus personne n'a seulement daigner répondre à mes courriers.
Ce qui me fait le plus mal, c'est que j'ai souvent l'impression - au moment de poster mes livres - que je les jette dans la cuvette des WC et que je tire la chasse.
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Armes et armures "historiques"
Je suis bien d'accord, regarde la collection Milady, le format poche des éditions Bragelonne. Se sont des auteurs américains qui ont placés dans leur pays des livres qui.... et bien, je ne veux pas être mesquin mais... bon sang, scénario convenus, aucune idée originales, une écriture plate, des descriptions sans relief... C'est même pas nul ou mauvais. Ce sont des livres qui ont déjà été écris avant. Ils se ressemblent tous ! La guerre des clones ! Quelque part c'est pire !elianor a écrit :Hors-sujetLes éditeurs sont vraiment des débiles profonds ils te publient des romans à deux balles et des biographies de merde mais dès que tu veux faire publier un livre de culture ou d'histoire on te le refuse direct.en tout cas j'espère franchement qu'un jour on te publiera
On a l'impression de toute une gamme dans lequelle... Vous connaissez les jeux de dress-up ? C'est des jeux de petites filles! Vous prennez une poupée et vous jouez à prendre tel ou tel vêtement. Les héros de ce types de romans sont comme les poupées des jeux de dress-up. Stéréotypées avec des accessoires stéréotypés ! Et tout le reste est à l'avenant ! Moi j'aurais honte d'écrire un truc comme ça. Croyez-le ou pas mais j'ai eu des propositions de ce genre. Accepter ? Non, merci, j'aurais vraiment l'impression de me prostituer !
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Armes et armures "historiques"
Hors-sujet
T'a essayer des éditeurs étrangers ? quelques fois on en trouve des moins cons qu'en France.
Re: Armes et armures "historiques"
Pour en revenir à l'art du siège, laissez-moi vous raconter un siège réel :
429 avant J.C. Le siège de Platée.
J'aime beaucoup cette histoire et je la trouve très intéressante dans le cadre d'un jeu de rôle car elle met en opposition une force de défenseurs réduite, seulement 500 combattants, face à la pire armée de la Guerre du Péloponnèse, les redoutables spartiates, épaulés pour la circonstance par leurs alliés Thébains.
Arkhidamos, spartiate typique, qui méprise les autres grecs, décide d'attaquer sans plus tarder. Il a des béliers il les fait mettre en position le long des murailles. Malins, les Platéens capturent les têtes au lasso et les tirent à eux, les arrachant aux mains des servant, ou les brisent en jetant des madriers depuis les murailles.
Platée 1, Sparte 0.
Pas découragé par la résistance des amateurs, Arkhidamos fait construire une terrasse de siège destinée à atteindre la hauteur de muraille et en permettre l'assaut. Les Platéens construiront un tunnel sous la terasse en construction et feront la chaîne pour ôter la terre pendant la nuit. Le général spartiate disposant de plus d'homme et de plus de temps, voit tout de même sa terrasse monter. Les Platéens changent de tactique et rehaussent leur muraille d'une superstructure en bois. Le mur étant toujours menacée, ils décident de la doubler à l'intérieur de la ville, d'un second rempart plus haut, qui surplomberait le premier.
Dégoûté, Arkhidamos abandonne la construction de la terrasse de siège.
Platée 2, Sparte 0
Arkhidamos décide d'incendier la ville, mais les dieux ont pris parti pour les assiégés et une averse torrentielle noie les flammes.
Platée 3, Sparte 0
Arkhidamos, pas découragé, décide de faire un siège long et de laisser la famine faire son oeuvre. Pour que les assiégés ne puissent sortir, il édifie une muraille de brique, jalonnée de tours qui entoure la ville. Pour en connaître la hauteur, les Platéens comptent les briques et firent des échelles pour la franchir. L'hiver suivant 250 hommes tentent une sortie nocturne. Sans faire de bruits, ils prennent deux tours, éliminant les sentinelles.
Quand l'alerte est enfin donné, les Spartiates font des signaux avec des torches pour se coordonner. Les Platéens restés en ville se mêlent à ce dialogue en agitant eux-aussi des flambeaux de manière à brouiller le message d'alerte. Puis ils lancent une attaque de diversion. Dans la panique, seuls trois cent thébains se lancent à la poursuite des fuyards. Partis sans boucliers, pour pouvoir tenir une torche, ils font une cible facile pour les Platéens qui se sont embusqués et qui les criblent de javelots et de flèches.
Pour contrer une nouvelle poursuite, les fuyards prennent la route de Thèbes (citée ennemie) tandis qu'on les recherche dans la direction opposée. Ils reviennent ensuite sur leurs pas et réussissent à gagner une cité amie.
Platée doit cependant se rendre. Les Spartiates feront un simulacre de procès aux soldats restés piégés dans la citadelle assiégées. Ils seront tous mis à mort sans pitié. Mot dont les Spartiates ignorent de toute manière le sens.
Edit :
Les grands principes de l'art du siège:
1°) Couper les lignes de communications de la place-forte ennemie.
Il s'agit tout à la fois d'affamer l'assiégés et ensuite de protéger les assiégeants d'une attaque, qu'elle vienne de l'ennemi retranché ou d'une force de secours.
Dans les sièges antiques (comme Alésia ou Platée) on construisait murailles et palissades au tour de la ville à prendre. Cependant, avec les progrès de l'artillerie, au Moyen-âge, on préférais creuser des tranchées dans le sol.
Il existe trois types de tranchées :
- Les contrevallations : sont tournées vers la place-forte et servent en empêcher les assiégés de sortir.
- Les circonvallations : sont tournées vers l'extérieure et empêchent les secours d'entrer.
- Les tranchées d'investissement : partent des contrevallations et avance en zigzag (pour éviter les tirs d’enfilade). Elles conduisent les hommes jusqu'aux pieds des murailles. A noter que cette dernière série de tranchées construites à portée de tir de l'ennemi est longue à mettre en place. Pour un homme qui creuse il faut un archer/ porteur de bouclier pour couvrir l'ouvrier.
Au niveau technologique de Skyrim, le meilleur exemple de siège fut réalisé par Philippe Auguste. Il s'agit de la prise de Château-Gaillard (Eure) en 1203-1204. Le siège est pratiquement une reconstitution de celui d'Alesia. Le souverain capétien utilisa une double enceinte avec des postes de défense pour assiéger la place.
Tiens, à la même époque (1216) Montfort assiège le château de Beaucaire. Vopus savez comment les assiégés firent pour arrêter le travail de sape aux pieds des murailles ? Ils descendirent un panier qui contenait un mélange de souffre, d'étoupe ert des tisons ardent. l'étoupe prit feu et enflamma le souffre, répandant un nuage jaune plus lourd que l'air qui entra dans la mine. Les ingénieurs, suffoquant, furent obligés d'évacuer !
Toujours à la même époque, le siège de Loches (1205), par Phillipe Auguste (encore) est encore sur l'exemple de celui d'Alésia. Le souverain fit placer des Pierrières (machines à contrepoids fixe) derrière des palissades et entoura complètement un plateau au sud de la forteresse, d'une palissade dressée sur une digue de terre prélevée en creusant le fossé qui le précédait. Le camp du roi avait sa propre palissade. De loin en loin, des tours de bois défendait ce périmètre.
Il faut savoir que le siège à toujours été une partie "technique" de la guerre. Dès 1160, laChanson de Rou fait état d'ingénieurs professionnels (carpentiers e engigneors).
429 avant J.C. Le siège de Platée.
J'aime beaucoup cette histoire et je la trouve très intéressante dans le cadre d'un jeu de rôle car elle met en opposition une force de défenseurs réduite, seulement 500 combattants, face à la pire armée de la Guerre du Péloponnèse, les redoutables spartiates, épaulés pour la circonstance par leurs alliés Thébains.
Arkhidamos, spartiate typique, qui méprise les autres grecs, décide d'attaquer sans plus tarder. Il a des béliers il les fait mettre en position le long des murailles. Malins, les Platéens capturent les têtes au lasso et les tirent à eux, les arrachant aux mains des servant, ou les brisent en jetant des madriers depuis les murailles.
Platée 1, Sparte 0.
Pas découragé par la résistance des amateurs, Arkhidamos fait construire une terrasse de siège destinée à atteindre la hauteur de muraille et en permettre l'assaut. Les Platéens construiront un tunnel sous la terasse en construction et feront la chaîne pour ôter la terre pendant la nuit. Le général spartiate disposant de plus d'homme et de plus de temps, voit tout de même sa terrasse monter. Les Platéens changent de tactique et rehaussent leur muraille d'une superstructure en bois. Le mur étant toujours menacée, ils décident de la doubler à l'intérieur de la ville, d'un second rempart plus haut, qui surplomberait le premier.
Dégoûté, Arkhidamos abandonne la construction de la terrasse de siège.
Platée 2, Sparte 0
Arkhidamos décide d'incendier la ville, mais les dieux ont pris parti pour les assiégés et une averse torrentielle noie les flammes.
Platée 3, Sparte 0
Arkhidamos, pas découragé, décide de faire un siège long et de laisser la famine faire son oeuvre. Pour que les assiégés ne puissent sortir, il édifie une muraille de brique, jalonnée de tours qui entoure la ville. Pour en connaître la hauteur, les Platéens comptent les briques et firent des échelles pour la franchir. L'hiver suivant 250 hommes tentent une sortie nocturne. Sans faire de bruits, ils prennent deux tours, éliminant les sentinelles.
Quand l'alerte est enfin donné, les Spartiates font des signaux avec des torches pour se coordonner. Les Platéens restés en ville se mêlent à ce dialogue en agitant eux-aussi des flambeaux de manière à brouiller le message d'alerte. Puis ils lancent une attaque de diversion. Dans la panique, seuls trois cent thébains se lancent à la poursuite des fuyards. Partis sans boucliers, pour pouvoir tenir une torche, ils font une cible facile pour les Platéens qui se sont embusqués et qui les criblent de javelots et de flèches.
Pour contrer une nouvelle poursuite, les fuyards prennent la route de Thèbes (citée ennemie) tandis qu'on les recherche dans la direction opposée. Ils reviennent ensuite sur leurs pas et réussissent à gagner une cité amie.
Platée doit cependant se rendre. Les Spartiates feront un simulacre de procès aux soldats restés piégés dans la citadelle assiégées. Ils seront tous mis à mort sans pitié. Mot dont les Spartiates ignorent de toute manière le sens.
Edit :
Les grands principes de l'art du siège:
1°) Couper les lignes de communications de la place-forte ennemie.
Il s'agit tout à la fois d'affamer l'assiégés et ensuite de protéger les assiégeants d'une attaque, qu'elle vienne de l'ennemi retranché ou d'une force de secours.
Dans les sièges antiques (comme Alésia ou Platée) on construisait murailles et palissades au tour de la ville à prendre. Cependant, avec les progrès de l'artillerie, au Moyen-âge, on préférais creuser des tranchées dans le sol.
Il existe trois types de tranchées :
- Les contrevallations : sont tournées vers la place-forte et servent en empêcher les assiégés de sortir.
- Les circonvallations : sont tournées vers l'extérieure et empêchent les secours d'entrer.
- Les tranchées d'investissement : partent des contrevallations et avance en zigzag (pour éviter les tirs d’enfilade). Elles conduisent les hommes jusqu'aux pieds des murailles. A noter que cette dernière série de tranchées construites à portée de tir de l'ennemi est longue à mettre en place. Pour un homme qui creuse il faut un archer/ porteur de bouclier pour couvrir l'ouvrier.
Au niveau technologique de Skyrim, le meilleur exemple de siège fut réalisé par Philippe Auguste. Il s'agit de la prise de Château-Gaillard (Eure) en 1203-1204. Le siège est pratiquement une reconstitution de celui d'Alesia. Le souverain capétien utilisa une double enceinte avec des postes de défense pour assiéger la place.
Tiens, à la même époque (1216) Montfort assiège le château de Beaucaire. Vopus savez comment les assiégés firent pour arrêter le travail de sape aux pieds des murailles ? Ils descendirent un panier qui contenait un mélange de souffre, d'étoupe ert des tisons ardent. l'étoupe prit feu et enflamma le souffre, répandant un nuage jaune plus lourd que l'air qui entra dans la mine. Les ingénieurs, suffoquant, furent obligés d'évacuer !
Toujours à la même époque, le siège de Loches (1205), par Phillipe Auguste (encore) est encore sur l'exemple de celui d'Alésia. Le souverain fit placer des Pierrières (machines à contrepoids fixe) derrière des palissades et entoura complètement un plateau au sud de la forteresse, d'une palissade dressée sur une digue de terre prélevée en creusant le fossé qui le précédait. Le camp du roi avait sa propre palissade. De loin en loin, des tours de bois défendait ce périmètre.
Il faut savoir que le siège à toujours été une partie "technique" de la guerre. Dès 1160, laChanson de Rou fait état d'ingénieurs professionnels (carpentiers e engigneors).
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Armes et armures "historiques"
Je pensais à ça et c'est un peu HS sans l'être vu que cela pourrait arriver dans Skyrim.
Comment trouves tu les armures (et armes) de Game of Throne? Perso et aux vues de ce que tu marques sm'ont l'air pas mal, elles se rapprochent plus du film Jeanne d'arc que de Xéna ou Conan
Comment trouves tu les armures (et armes) de Game of Throne? Perso et aux vues de ce que tu marques sm'ont l'air pas mal, elles se rapprochent plus du film Jeanne d'arc que de Xéna ou Conan


"Pas de coercition ... un peu d'éducation ..." Moorelf
Re: Armes et armures "historiques"
Je n'ai pas la télé...
Je préfères lire !

L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Armes et armures "historiques"
Ca se regarde sur le pc bien avant que ça passe à la télé 
Avec ce type de recherche, tu as quelques exemples:
Armure de Game of Thrones
Mais je suppose que même dans les livres Martin doit bien les décrire, donc si tu les as lu, tu en penses quoi?

Avec ce type de recherche, tu as quelques exemples:
Armure de Game of Thrones
Mais je suppose que même dans les livres Martin doit bien les décrire, donc si tu les as lu, tu en penses quoi?

"Pas de coercition ... un peu d'éducation ..." Moorelf
Re: Armes et armures "historiques"
Oh, j'ai commencé la lecture, mais j'ai arrêté au cinquième tome. Trop long, trop lent, trop d'intrigues croisées, trop de personnages.... Même moi je n'aurais pas osé écrire un livre mélangeant trois intrigues parallèles qui se développent simultanément. Au moins deux d'entre elles se passent dans le même royaume avec des personnages qui se rencontrent, mais la troisième se passe sur un autre continent, même si elle met en scène l'héritière légitime du trône de fer.
Pour ce qui est des armures :

Les deux personnages au centre portent une armure de cuir rigide sur un gambisson. L'armure en question à une apparence bizarre, mais elle est de construction réaliste.
Cette autre armure aurait bien sa place à Skyrim :

L'armure est un simple pectoral avec des épaulettes de métal et une jupe d'écaille, elle ne protège pas beaucoup. Le heaume est inspiré de certains modèles grecs.
Pour ce qui est des armures :

Les deux personnages au centre portent une armure de cuir rigide sur un gambisson. L'armure en question à une apparence bizarre, mais elle est de construction réaliste.
Cette autre armure aurait bien sa place à Skyrim :

L'armure est un simple pectoral avec des épaulettes de métal et une jupe d'écaille, elle ne protège pas beaucoup. Le heaume est inspiré de certains modèles grecs.
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
Re: Armes et armures "historiques"
En fait, c'est plus ou moins normal qu'elles aient une allure bizarre sur le premier screen, c'est une tenue normale de simple cuir avec un plastron d'entrainement. Toi qui a lu le premier tome, c'est la rencontre entre Jon Snow et Sam lorsqu'ils arrive chez les Night Watch, tu sais la scène ou il dit lui même être un pleutre et qu'il ne se relève pas.
Et la deuxième armure qui je trouve à beaucoup de classe c'est celle de la garde royale et d'ailleurs celui qui la porte, c'est le régicide Jaime Lannister.
Et pour l'histoire, c'est sûr que c'est dense. D'ailleurs je trouve qu'ils s'en sortent bien dans la série, on est pas trop perdu. Par contre, si tu as du mal avec les histoires en parallèles etc... je ne suis pas certain que La Roue du Temps te plaise car c'est un peu le même principe en terme de densité et de parallélisme
Et la deuxième armure qui je trouve à beaucoup de classe c'est celle de la garde royale et d'ailleurs celui qui la porte, c'est le régicide Jaime Lannister.
Et pour l'histoire, c'est sûr que c'est dense. D'ailleurs je trouve qu'ils s'en sortent bien dans la série, on est pas trop perdu. Par contre, si tu as du mal avec les histoires en parallèles etc... je ne suis pas certain que La Roue du Temps te plaise car c'est un peu le même principe en terme de densité et de parallélisme


"Pas de coercition ... un peu d'éducation ..." Moorelf