The Elder Scrolls V: Skyrim
Re: The Elders Scrolls V : Skyrim
Nan, personnellement c'est la magie que je mettrais sur mes deux boutons supplémentaires.
Adieu Yu Qi...


Re: The Elders Scrolls V : Skyrim
Il y a des malades mentaux en liberté dans Skyrim.... 

L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
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Re: The Elders Scrolls V : Skyrim
je n'ai pas compris ton post Malhuin, peux tu développer ton idée ? 

Re: The Elders Scrolls V : Skyrim
Comme tout le monde y va de son petit commentaire sur Skyrim, je me lance également pour faire paratager mes impressions...
En préambule, je vous conseille vivement de l'acheter ou au moins d'y jouer, d'y goûter afin de connaître sa saveur parce que, franchement, faut le voir pour le croire. Tout d'abord, je vais vous donner mes impressions positives de cet opus puis en second lieu mes impressions négatives. Skyrim respecte de manière originale et séduisante le concept de jeu de rôle et plus précisément il est digne d'être le cinquième volet des Elder Scrolls ; pour les joueurs qui jouent au moins depuis Morrowind (le troisième de la saga), je suppose que vous avez senti le bouleversement lors du passage à Oblivion - si vous y avez toutefois joué - avec la disparition d'une espèce d'aura de mystère qui entourait le monde de Tamriel... Je m'explique : dans Morrowind il n'y avait pas de boussole, pas de cheval, pas de fast travel, pas de quêtes pas à pas... C'était la débrouille. Quand il fallait trouver un camp de telle ou telle tribu l'explication était : "C'est au nord-est de Gnisis" alors que la région était sombre, peu accueillante et que personne nous tenait la main ; avec Oblivion est venue la boussole et la jolie flèche verte aussi lumineuse qu'un panneau-néon "C'est ici ton objectif final !". Les personnages de Morrowind étaient plus complets à défaut d'être "vivants" (j'entends par là les animations de l'époque), dans Oblivion les personnages sont devenus très humains mais leur background a été vidé de manière drastique pour les NPC communs... Je vais pas tout vous faire, vous l'aurez compris : le basculement Morrowind/Oblivion a entraîné des pertes très importantes d'atmosphère et de background.
Skyrim innove avec tact et... déhanché sur la manière de présenter le monde et l'univers de Bordeciel, patrie des Nordiques. Pour moi, c'est l'alliance du système d'animation et d'immersion oblivionesque avec le mystère et la profondeur morrowindienne ; l'on se retrouve dans un monde scié en deux avec le retour des donjons glauques et des individus intrigants. L'on retrouve par exemple les ruines dwemers
, véritable merveille à explorer dont l'histoire me passionne et qui avaient disparues dans Oblivion - remplacées par les ruines Ayléides
. Le scénario est bien tourné (je n'ai pas encore fini la quête principale) sur la plupart des thèmes, la Confrérie Noire l'illustre parfaitement, elle est très bien fichue avec des contrats éprouvants et des retournements de situation
. Les dragons constituent des adversaires originaux bien que casse-pieds lorsqu'ils débarquent alors que l'on souhaite poursuivre ses affaires personnelles, d'ailleurs le bestiaire est bien garni avec des créatures connues des autres opus et d'autres, nouvelles, propres à Skyrim... La disparition des classes ne me gêne absolument pas et, au contraire, cela permet de faire son background selon notre style de jeu et de ne pas avoir à le choisir parmi une liste peu parlante sans rien connaître du jeu. Le nouveau système de niveau me rappelle les perks de Fallout mais en plus élaboré et plus intéressant, il est vrai que les Elder Scrolls se reconnaissaient par leur sempiternelle fenêtre où l'on choisissais les caractéristiques principales à augmenter ce qui influait sur le personnage lui-même... Mais il faut suivre le changement et je ne pleurerais pas aujourd'hui une nouvelle technique car cela permet de cibler ce que l'on veut vraiment car après tout lorsque l'on monte un niveau l'on souhaite d'abord augmenter sa santé, son mana ou sa vigueur. Pour en revenir aux atouts, il complètent le personnage de façon surprenante et pour ma part je considère que c'est assez bien réalisé, je joue beaucoup en furtivité avec l'arc mais lorsque je peux m'approcher de ma victime avec l'atout de x15 les dégâts de dague en furtivité et ce, doublé grâce à des gants enchantés c'est le coup de grâce assuré alors que je suis en Difficile. Je pense que la magie a été bien améliorée mais qu'il y a encore du chemin à faire car d'après les commentaires il y a des problèmes de dégâts/consommation de mana ou encore d'efficacité des sorts, les atouts concernant la magie sont utiles mais il faut vraiment se spécialiser, j'utilise la magie de Destruction et surtout la Guérison pour compléter mes autres capacités mais j'ai compris qu'il était risqué de tout miser sur la magie. Le "forgeage" est une innovation bluffante, forger ses propres armes et armures avec des matériaux que l'on récolte à même le sol... Une sorte de cousin de l'Alchimie, seule en son genre jusque-là. Cela permet une indépendance vis-à-vis des armureriers et du matériel découvert dans les donjons, donnant au joueur la capacité de se créer lui-même son équipement bien qu'étrangement l'usure des armures et des armes ait disparu totalement. Les donjons sont angoissants muni de pièges parfois vicieux et de créatures pas très engageantes (mamaaaaannnnn ! Une araignée géante !
) qui sauront vous montrer qu'un trésor ça se gagne. Les villes sont absoluments somptueuses : de la ville typiquement nordique comme Morthal, à la grandiose Solitude (capitale de Bordeciel) en passant par Markhat, la magnificente ville des dwemers
. La disparition de la Guilde des Guerriers et de la Guilde des Mages est assez perturbante mais au fond c'était un peu étrange ces associations présentes dans chaque ville et les Compagnons (remplaçants pour les guerriers) ainsi que l'Académie de Fordhiver (pour les mages) font parfaitement leur office à mon goût. Les combats sont dynamiques avec des variantes agréables grâces aux nombreux adversaires et aux combinaisons d'armes et de sorts inédites à Skyrim. La plupart des quêtes que j'ai accompli jusque là sont prenantes, rares sont celles qui se résument à un boulot de postier et lorsqu'il y en a, elles conduisent parfois à d'autres quêtes plus intéressantes... Ou encore la possibilité de devenir un vampire ou un loup-garou... Se marier... Bref que dire de plus sinon que la brume qui plane sur les hautes montagnes enneigées représente bien l'atmosphère pleine de mystère à la Morrowind qui plane sur Bordeciel...
Parlons maintenant des points négatifs (peu nombreux mais bien incrustés)... L'inventaire ! Oui ! Décrié sur tous les forums et... c'est pour de bien bonnes raisons. Je ne parle pas de la prise en main qui me chagrine un peu, du menu déroulant à la mode console XBox 360 ou PS 3, ce dont je veux parler c'est de l'infâme triage des objets ! J'ai tenté vainement de comprendre dans quel ordre était rangés des objets de provenance diverses dans un de mes coffres : pas de classement alphabétique, pas de classement par genre, non plus par style ou encore par priorité... Rien qu'un amas informe. Comment peut-on retrouver un objet particulier dans un cas comme celui-ci ? Si vous avez compris la logique de rangement dites-le moi, par pitié, parce qu'autant c'est gérable lorsque l'on peut séparer les Tenues des Armes, par exemple, autant dans un coffre où rien n'est rangé... C'est ça pour moi la véritable horreur et c'est traumatisant pour un esprit ne serait-ce qu'un peu maniaque. Après cela, le cheval. Oui, ce cheval qui va attaquer tout seul un dragon cracheur de feu avec pour seule arme ses pattes avants. Ce cheval qui attaque vaillamment des bandits qui en veulent à son maître ou sa maîtresse qui voulait juste fuir en courant... Un cheval coûte 1.000 pièces d'or, j'en ai acheté un une fois, je me refuse à en acheter un de nouveau s'il meure comme le premier. C'est une ruine absolue. Et enfin, le manque de transport à la Morrowind pour ceux qui préfèreraient ne pas utiliser le fast travel car sans ces transports le fast travel devient presque indispensable pour ne pas passer des heures entre chaque ville, le chariot entre les grandes villes est sympathique mais ce n'est pas suffisant s'il l'on se rappelle le nombre de transports différents qu'il existait sur Morrowind.
Voilà, voilà.
Je tiens à souligner que ce qui figure ici n'est que mon humble avis pour prévenir toute réaction potentiellement violente à l'égard de mes propos. 
En préambule, je vous conseille vivement de l'acheter ou au moins d'y jouer, d'y goûter afin de connaître sa saveur parce que, franchement, faut le voir pour le croire. Tout d'abord, je vais vous donner mes impressions positives de cet opus puis en second lieu mes impressions négatives. Skyrim respecte de manière originale et séduisante le concept de jeu de rôle et plus précisément il est digne d'être le cinquième volet des Elder Scrolls ; pour les joueurs qui jouent au moins depuis Morrowind (le troisième de la saga), je suppose que vous avez senti le bouleversement lors du passage à Oblivion - si vous y avez toutefois joué - avec la disparition d'une espèce d'aura de mystère qui entourait le monde de Tamriel... Je m'explique : dans Morrowind il n'y avait pas de boussole, pas de cheval, pas de fast travel, pas de quêtes pas à pas... C'était la débrouille. Quand il fallait trouver un camp de telle ou telle tribu l'explication était : "C'est au nord-est de Gnisis" alors que la région était sombre, peu accueillante et que personne nous tenait la main ; avec Oblivion est venue la boussole et la jolie flèche verte aussi lumineuse qu'un panneau-néon "C'est ici ton objectif final !". Les personnages de Morrowind étaient plus complets à défaut d'être "vivants" (j'entends par là les animations de l'époque), dans Oblivion les personnages sont devenus très humains mais leur background a été vidé de manière drastique pour les NPC communs... Je vais pas tout vous faire, vous l'aurez compris : le basculement Morrowind/Oblivion a entraîné des pertes très importantes d'atmosphère et de background.
Skyrim innove avec tact et... déhanché sur la manière de présenter le monde et l'univers de Bordeciel, patrie des Nordiques. Pour moi, c'est l'alliance du système d'animation et d'immersion oblivionesque avec le mystère et la profondeur morrowindienne ; l'on se retrouve dans un monde scié en deux avec le retour des donjons glauques et des individus intrigants. L'on retrouve par exemple les ruines dwemers





Parlons maintenant des points négatifs (peu nombreux mais bien incrustés)... L'inventaire ! Oui ! Décrié sur tous les forums et... c'est pour de bien bonnes raisons. Je ne parle pas de la prise en main qui me chagrine un peu, du menu déroulant à la mode console XBox 360 ou PS 3, ce dont je veux parler c'est de l'infâme triage des objets ! J'ai tenté vainement de comprendre dans quel ordre était rangés des objets de provenance diverses dans un de mes coffres : pas de classement alphabétique, pas de classement par genre, non plus par style ou encore par priorité... Rien qu'un amas informe. Comment peut-on retrouver un objet particulier dans un cas comme celui-ci ? Si vous avez compris la logique de rangement dites-le moi, par pitié, parce qu'autant c'est gérable lorsque l'on peut séparer les Tenues des Armes, par exemple, autant dans un coffre où rien n'est rangé... C'est ça pour moi la véritable horreur et c'est traumatisant pour un esprit ne serait-ce qu'un peu maniaque. Après cela, le cheval. Oui, ce cheval qui va attaquer tout seul un dragon cracheur de feu avec pour seule arme ses pattes avants. Ce cheval qui attaque vaillamment des bandits qui en veulent à son maître ou sa maîtresse qui voulait juste fuir en courant... Un cheval coûte 1.000 pièces d'or, j'en ai acheté un une fois, je me refuse à en acheter un de nouveau s'il meure comme le premier. C'est une ruine absolue. Et enfin, le manque de transport à la Morrowind pour ceux qui préfèreraient ne pas utiliser le fast travel car sans ces transports le fast travel devient presque indispensable pour ne pas passer des heures entre chaque ville, le chariot entre les grandes villes est sympathique mais ce n'est pas suffisant s'il l'on se rappelle le nombre de transports différents qu'il existait sur Morrowind.
Voilà, voilà.


Ses longs cheveux noirs tombant en rideau devant son
visage, son attitude, position de combat ou figure de danse,
l'énergie qui se dégageait d'elle...
La fille n'était plus une fille.
C'était un oiseau.
Prêt à l'envol.
Ma présentation - Mon histoire sur Skyrim
visage, son attitude, position de combat ou figure de danse,
l'énergie qui se dégageait d'elle...
La fille n'était plus une fille.
C'était un oiseau.
Prêt à l'envol.
Ma présentation - Mon histoire sur Skyrim
Re: The Elders Scrolls V : Skyrim
La vidéo avec le type qui met des sceaux et des chaudrons sur la tête des gens !TheFireNight a écrit :je n'ai pas compris ton post Malhuin, peux tu développer ton idée ?
L'honneur n'est qu'un bien personnel, le plus précieux, certes. Mais l'honneur n'est pas une qualité pour l'exercice de cet art délicat qu'est la guerre.
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Re: The Elders Scrolls V : Skyrim
faut admettre que c'est une technique originale pour voler sans être vu XD
Re: The Elders Scrolls V : Skyrim
Au contraire, ton commentaire est très intéressant et m'a vraiment donné envie de me procurer SkyrimNatan a écrit : Voilà, voilà.Je tiens à souligner que ce qui figure ici n'est que mon humble avis pour prévenir toute réaction potentiellement violente à l'égard de mes propos.

Par contre, contrairement à vous tous (et ce sera une première sur tous les Elder Scrolls que j'ai acheté), je le prendrais sur Xbox 360.
Bah oui! Mon PC ne pourra jamais faire tourner ce monstre.
Re: The Elders Scrolls V : Skyrim
Bon soir
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Modifié en dernier par BlackArt le 20 juin 2015, 18:13, modifié 4 fois.
Raison : Passage d'un Disciple.
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Re: The Elders Scrolls V : Skyrim
merci pour le spoil...
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Re: The Elders Scrolls V : Skyrim
Moi j'ai un problème avec mes compagnons, l'option pour les virer n'apparaît pas...