Plainte de l'UFC-Que Choisir contre éditeurs et revendeurs
Posté : 29 nov. 2011, 11:51
L' UFC-Que choisir a mené une vaste enquête sur les jeux vidéos, demandant aux joueurs de leur signaler tout ce qui n'allait pas dans les jeux vidéos aujourd'hui.
Bugs, DRM, jeux non finis, etc. Elle a compilé les résultats de cette enquête, qui ne sont pas glorieux du tout.
Extrait choisi :
Les jeux vidéo sont de plus en plus attachés à une clé d’activation ou à un pass unique. Ce code lie un jeu et un terminal (ordinateur ou console). Il s’agit d’une forme de DRM qui pose les mêmes difficultés que celles connues pour la musique ou les films, i. e. impossibilité de prêter et de transférer le jeu. La limitation est parfois bien plus restrictive puisqu’un consommateur ne peut pas utiliser son jeu sur un terminal différent (un autre ordinateur ou une autre console). Cette pratique vise à tuer le marché d’occasion puisque le consommateur qui achète un jeu de seconde main doit investir dans un nouveau code d’activation rendant le jeu ainsi acquis aussi cher qu’un jeu neuf. L’UFC-Que Choisir a d’ailleurs constaté que cette limitation est souvent non ou mal indiquée lors de l’achat du jeu, que ce soit sur le boîtier lorsqu’il s’agit d’un achat physique ou sur le site du cybermarchand lorsqu’il s’agit d’un achat à distance. Refusant la poursuite de pratiques commerciales qui truquent le marché du jeu vidéo, l’UFC-Que Choisir :
- Demande à la DGCCRF d’effectuer une enquête approfondie pour déterminer l’ampleur des problèmes (fréquence et gravité) rencontrés par les consommateurs ;
- Dépose plainte contre 3 distributeurs (Micromania, Fnac Direct et Game France) et 4 éditeurs de jeux (Codesmasters, Warner Interactive, THQ, Bethasda Software) pour pratiques commerciales trompeuses, s’agissant de l’information relative aux codes à usage unique d’accès à certains éléments du jeu.
Source : http://twitdoc.com/upload/ufcquechoisir ... -video.pdf
Bugs, DRM, jeux non finis, etc. Elle a compilé les résultats de cette enquête, qui ne sont pas glorieux du tout.
Extrait choisi :
Les jeux vidéo sont de plus en plus attachés à une clé d’activation ou à un pass unique. Ce code lie un jeu et un terminal (ordinateur ou console). Il s’agit d’une forme de DRM qui pose les mêmes difficultés que celles connues pour la musique ou les films, i. e. impossibilité de prêter et de transférer le jeu. La limitation est parfois bien plus restrictive puisqu’un consommateur ne peut pas utiliser son jeu sur un terminal différent (un autre ordinateur ou une autre console). Cette pratique vise à tuer le marché d’occasion puisque le consommateur qui achète un jeu de seconde main doit investir dans un nouveau code d’activation rendant le jeu ainsi acquis aussi cher qu’un jeu neuf. L’UFC-Que Choisir a d’ailleurs constaté que cette limitation est souvent non ou mal indiquée lors de l’achat du jeu, que ce soit sur le boîtier lorsqu’il s’agit d’un achat physique ou sur le site du cybermarchand lorsqu’il s’agit d’un achat à distance. Refusant la poursuite de pratiques commerciales qui truquent le marché du jeu vidéo, l’UFC-Que Choisir :
- Demande à la DGCCRF d’effectuer une enquête approfondie pour déterminer l’ampleur des problèmes (fréquence et gravité) rencontrés par les consommateurs ;
- Dépose plainte contre 3 distributeurs (Micromania, Fnac Direct et Game France) et 4 éditeurs de jeux (Codesmasters, Warner Interactive, THQ, Bethasda Software) pour pratiques commerciales trompeuses, s’agissant de l’information relative aux codes à usage unique d’accès à certains éléments du jeu.
Source : http://twitdoc.com/upload/ufcquechoisir ... -video.pdf