La Confrérie des Traducteurs

Sinon les dwemers étaient d'excellents combattants avec des armes et armures très efficaces. Ils avaient aussi des contes et histoires avec des morales très intéressantes pour l'apprentissage des arts de la guerre.

Comme le conte "l'importance de l'endroit" où les troupeaux sont ravagés (un auteur retranscrit l'histoire et l'explique).
Le mage, Le scientifique, le guerrier ont chacun une théorie et chacun font ce qu'ils veulent pour préserver le troupeau.

Le guerrier part chasser une bête dans les montagnes, se souvient de ce que disait son maitre sur "l'importance de l'endroit" et frappe la bête à la tête, la gorge, le coeur (avec une masse rudimentaire, ce qui permet à l'auteur de déduire que c'est dans les premiers temps des dwemers).
Elle s'enfuit et lorsqu'il revient le troupeau est sain et le mage, le scientifique et le guerrier disent tous trois que c'est grâce à eux.

Plus tard le troupeau est à nouveau ravagé, la même chose recommence et, une fois de plus, le guerrier poursuit la bête tout en frappant à trois endroits différents.
Là encore tout le monde dit être responsable et avoir trouvé la source du problème. Sauf que rebelote le troupeau est ravagé et ça recommence.
Le guerrier poursuit la bête, frappe à un point précis, encore... Et lorsqu'il frappe le dernier coup il est dans le village. Le troupeau est sauvé et personne ne peut nier que c'est le guerrier qui a vaincu le fléau.
Son maitre arrive et lui dit "tu vois, ce qui importe c'est où on frappe." Ainsi l'histoire se termine sur un jeu de mot que l'auteur du livre explique. En effet au départ il est question de frapper les points faibles tandis qu'à la fin il est question de se frapper à un endroit qui permettent de prouver ce qu'il s'est passé.
Un conte à double sens dont les dwemers étaient parfaitement friands et qui démontre des compétences guerrières très importantes.