La Confrérie des Traducteurs

Pré-requis pour débuter la romance :
-avoir fait la quête donner par Ondolemar consistant à trouver une preuve qu’Ogmund est un adorateur de Talos.
-ne pas faire partie des Sombrages
-lors de la quête « immunité diplomatique » , le convaincre de faire diversion pour que nous puissions passer en douce avec Malborn.

En sortant de la grotte permettant de fuir l’ambassade, Ondolemar nous accoste, furieux de savoir ce pour quoi nous lui avons demandé de faire diversion : tuer des nobles soldats et Juticiars du Thalmor, voler des informations qui ne nous appartenaient pas, aider un prisonnier à s‘évader (si nous l‘avons délivré). Il nous dit qu’il se faisait une meilleure opinion de nous, qu’il attendait mieux de notre part, nous accuse de trahison et nous fait part de sa déception de nous voir prendre partie contre le Thalmor. Il nous dit que nous sommes pire que les Sombrages car, tout barbares qu’ils soient, avec eux au moins il savait à quoi s’en tenir car ils défendaient ouvertement leurs opinions et ne frappaient pas vicieusement dans le dos comme nous l’avons fait.
Nous nions les accusations de trahison, disant que, certes, nous avons dû tuer mais que nous regrettons amèrement d’avoir dû le faire, hélas c’était le seul moyen pour nous d’avoir accès à des informations sur les dragons. Ondolemar s’étonne, que viennent donc faire les dragons dans cette histoire ? Nous lui disons alors que c’est justement le cœur du sujet, qu’il ne s’agit pas là juste des Sombrages, de l’Empire et du Thalmor, que cela ne concerne en rien les guerres et intrigues politiques. Il s’agit là du sort, non pas d’un Empire ou du Domaine Aldmeri, mais du monde entier qui est menacé par la venue des dragons. Ils menacent le monde au moment même où ce denier est affaibli et divisé par des querelles intestines. Il nous demande alors pourquoi ne pas être venu lui demander directement ce que lui et le Thalmor savait à ce sujet si le danger et notre besoin d’information était aussi grand. Nous lui répondons « nous auriez-vous donner quoi que ce soit ? », il avoue que non, puis nous demande ce que nous savons sur les dragons (il reste suspicieux, mais semble prêt à écouter ce que nous avons à dire et peut-être à croire en notre bonne foi). Nous lui disons alors que nous répondrons volontiers à ses questions, mais que ce n’est sans doute pas l’endroit, les gardes du Thalmor devant être à notre recherche.
Ondolemar acquiesce et nous dit de le suivre. Juste avant de croiser une patrouille, il se tourne vers nous et nous dit de nous taire et de rentrer dans le jeu.
-Si nous sommes haut-elfe ou elfe des bois, il nous fait passer pour un membre de l’ambassade du domaine Aldmeri.
-Si nous sommes ni Altmer, ni Bosmer, il nous fait passer pour un prisonnier qu’il emmène se faire interroger (peut-être en nous demandant de cacher nos armes, qu’ils suffiraient de déséquipé et en nous attachant les mains si c’est possible à faire. Il nous libère ensuite).
Arrivé à Markarth, il nous demande de nous expliquer. Nous lui parlons donc un peu de nos pouvoirs d’enfant de dragon, de notre découverte de ces derniers, et il répond qu’il en a entendu parler. Nous lui racontons que suite à cette découverte, nous avons rencontré une personne prétendant avoir des informations sur les dragons et nous racontons donc une partie de ce que nous à confié Delphine, notamment sur la résurrection des dragons et sur le fait que le dragon ressuscitant les autres est le même que celui qui à détruit Helgen. Il demande alors à savoir qui est cette personne. Plusieurs choix :
-soit nous lui répondons que nous refusons de dévoiler cette information, au quel cas Ondolemar n’appréciera pas. Il nous dira que par égare à nos services rendues et en échange de nos informations, il va faire retirer l’avis de recherche que le Thalmor à surement déjà mis sur notre tête, mais qu’à l’avenir, il vaut mieux pour nous ne plus le compter parmi nos alliés (fin de la romance).
-nous lui dévoilons qu’il s’agit d’une ancienne membre des lames.
Ondolemar se montre surprit et se crispe un peu, mais nous remercie pour notre honnêteté et notre confiance envers lui. Nous lui demandons expressément de ne pas révélé la présence d’un membre des lames encore libre en Bordeciel aux autres membres du Thalmor, car il ne fait aucun doute que ces deniers feront tout pour la retrouver et la tuer. Or, nous avons besoin de cette personne pour enquêter sur les dragons, découvrir comment et pourquoi ils reviennent à la vie, quel réel danger cela représente, et surtout comment les empêcher de continuer. Ondolemar hésite, disant que nous lui en demandons beaucoup. Il choisir néanmoins de nous faire confiance et accepte. Il nous dit de ne plus nous inquiété du Thalmor, qu’il s’occupera des avis de recherches sans doute déjà mis sur notre tête. Il nous donne ensuite congé, prétextant que nous lui avons donné matière à réflexion.

Quelques jours plus tard, un messager vient nous porter un message d’Ondolemar nous demandant de venir à Markarth. Une fois sur place :
Ondolemar : Ah vous voilà enfin, j’avais peur que vous ne tardiez trop.
Nous : Un problème ?
Ondolemar : Oui, en effet. Depuis presque deux semaines, un dragon à élue domicile non loin d’ici. Il a attaqué de nombreux convois de marchands. Sa présence menace Markath et ses habitants.
Nous : Le Jarl ne fait rien ?
Ondolemar : Il a déjà envoyé quelques soldats s’occuper du dragon, mais bien trop peu si vous voulez mon avis. Aucun n’en est revenu. Depuis, il les garde précieusement autour de lui. Il préfère se terrer avec au fond de son fort et attendre que le dragon se soit suffisamment repaît de ses sujets.
Nous : il n’a peut-être pas tord, envoyer des hommes à une mort certaine ne servira à rien.
Ondolemar : tord ou pas, il est de son devoir de protéger ses sujets, mais sans doute avez-vous raison.
Nous : ne pouvez rien faire ? Vos gardes semblent plus que compétents, avec leur aide, les hommes du jarl arriveraient peut-être à bout du dragon.
Ondolemar : mon…supérieur refuse que nous nous chargions des problèmes de ce genre. Notre mission ici se résume à vérifier que le Traité de l’Or Blanc est bien respecté et que les hérétiques sont punis comme il se doit… Mais je refuse de laisser les choses se passer ainsi ! J’ai beaucoup réfléchit à ce que vous m’avez dit, et je dois reconnaître, bien qu’il m’en coûte, que vous avez raison. Cela va au-delà de nos intrigues. Ce dragon menace la ville, nous devons le tuer. Si les miens ne veulent pas s’en mêler et si le jarl est trop couard pour s’en charger, soit. M’accompagnerez-vous ?
Au choix :
-nous refusons, disant qu’y aller à deux serait beaucoup trop risqué. Ondolemar se moque de nous, nous traite de lâche (fin de la romance)
-nous lui disons que nous acceptons, mais qu’il nous faut quelques heures pour nous préparer. Ondolemar acquiesce, mais nous demande tout de même de nous dépêcher (cela dit, nous pouvons revenir dès que nous le voulons. La romance est en suspend).
-nous lui répondons que c’est le cœur léger que nous irons combattre ce dragon à ses côté.
Nous allons donc tuer le dragon aux côtés d’Ondolemar. Une fois le dragon mort, il nous félicite pour nos talents de guerrier/archer/mage et nous dit que nous devrions sans doute revenir à Markarth avec lui, car le jarl voudra sans doute nous récompenser. Nous y retournons donc recevoir les compliments de ce dernier.
Avant de partir, Ondolemar nous arrête :
Ondolemar : Attendez, avant que vous de repartiez, j’aurais un service à vous demander.
Nous (au choix) : -je n’ai plus de temps à vous consacrer, il y a d’autres choses dont je dois m’occuper (Ondolemar acquiesce froidement, fin de la romance)
- de quoi s’agit-il ?
Ondolemar : j’ai récupéré des os et des écailles sur le dragon que nous avons tué et cela m’a donné une idée. Malheureusement, je ne dispose pas de tous les composants nécessaires. J‘ai déjà la gemme dont je vais avoir besoin pour mon projet, hélas, elle est vide… (il nous tend une gemme noire)
Nous : vous voulez que j’assassine quelqu’un pour vous ?
Ondolemar : bien sûr que non, vous n’allez assassiner personne puisque vous prendrez une âme que personne ne regrettera. N’importe quel bandits, hors-la-loi ou parjure fera l’affaire et on vous félicitera de votre geste. Cela m’ennuie de vous demander cela, mais il n‘y a personne d‘autre en qui j‘ai suffisamment confiance pour lui confier cette tâche. On pourrait se méprendre sur mes intentions.
Nous : très bien, je vais faire ça pour vous, mais qu’allez-vous en faire ?
Ondolemar : je vous remercie, mais je préfère garder cela pour moi si ça ne vous ennuie pas.
Nous voilà donc en possession d’une gemme noire à remplir. Une fois notre tâche accompli, nous la lui rapportons.
Ondolemar : je vous attendais, vous avez réussi ?
Nous : bien évidemment, tenez.
Ondolemar : je vous remercie, je pense être prêt à enfin mettre ma théorie à l’épreuve.
Nous : qu’allez-vous en faire ?
Ondolemar : je vois que votre curiosité n’a en rien diminué, j’aime ça. Mais je préfère ne rien vous dire pour le moment, au cas où j’échouerais.
Nous partons donc. A ce moment, une des gardes d’Ondolemar (à vérifier, mais dans chacune de mes parties, au moins une des gardes d’Ondolemar était une femme) vient nous voir et nous dit de laisser Ondolemar tranquille, de nous éloigner de lui.
Au choix :
-nous lui demandons pourquoi. Elle nous insulte et nous fait jeter dehors.
-nous lui disons n’avoir aucun ordre à recevoir d’elle et nous partons.

Quelques jours plus tard, nous recevons un messager d’Ondolemar nous demandant de venir le retrouver. Une fois sur place, à peine sommes nous arrivé que la garde nous accoste à nouveau, nous demandant si c’est encore Ondolemar que nous venons voir et nous dit nous avoir pourtant prévenu. Elle n’a pas l’intention de tolérer encore notre présence ici. S’en suit un combat à mains nues qu’il nous faut évidemment gagner. Juste après celui-ci, Ondolemar arrive, alerté par le bruit, et nous demande si nous allons bien et apostrophe son garde en lui demandant ce qu’il se passe. Au choix :
-nous dénonçons la garde, disant à Ondolemar qu’elle nous a agressé sans raison apparente. Auquel cas, Ondolemar la sermonne vertement, la prévenant que si cela ne tenait qu’à lui, il l’a renverrait de son service.
-nous couvrons la garde, disant que ce n’était rien, qu’il ne s’agissait là que d’un petit pari amical. Ondolemar ne semble pas trop nous croire, mais n’insiste pas, nous disant qu’il a quelque chose à nous montrer. Il nous dit avoir remarqué à quel point les écailles des dragons étaient épaisses et dures à percer (bon, si vous faites sa quête en ayant dépasser le niveau 30, vous aurez sans doute un peu de mal à le croire, mais bon…x)) et que le feu et la glace ne semblaient que peu les affecter (à vérifier, mais c’est toujours l’impression que j’ai eu en combattant des dragons avec ma magicienne). Il a donc eu une idée. Il nous montre alors une dague faite en os de dragon (je sais qu’il existe un mod permettant de créer des armes en os de dragons, il serait donc faisable de reprendre leur texture non ? En tout cas, les caractéristiques de la dague ne devra pas excéder celle d’une dague deadra (ou de peu), afin de ne pas déséquilibrer le jeu) enchanté pour faire des dégâts de foudre, et des dégâts supplémentaires aux dragons (je pensais à une reproduction de l’enchantement qu’on trouve sur l’épée « Mord-dragon », le katana qu’on trouve dans le temple des lames).
Nous faisons part de notre admiration face à la réalisation de cette arme, ce qui semble faire plaisir à Ondolemar. Nous lui disons que cela nous rappelle les méthodes utilisées par les Lames, et Ondolemar avoue s’être inspiré d’eux. Il nous demande ensuite de bien vouloir tester la dague pour lui. Au choix :
-nous refusons, disant que son travail est remarquable, mais que cela ne nous concerne pas, qu’il ferait tout aussi bien de la tester lui-même. Ondolemar acquiesce froidement (fin de la romance)
-nous lui disons que nous testerons cette arme pour lui volontiers, mais que pour le moment nous en avons malheureusement pas le temps, étant tenu par d’autres obligations. Ondolemar ne nous en tient pas rigueur et nous demanderas si nous sommes à présent prêt à tester cette dague la prochaine fois que nous irons lui parler.
-nous acceptons d’aller la tester sur le champ, assurant que cela nous fait plaisir de lui rendre service. Nous pouvons alors soit partir directement, soit lui demander s’il veut venir avec nous, au quel cas il nous répond que ça serait avec grand plaisir, mais que ces obligations le retiennent malheureusement ici.
Nous partons donc. Si nous avons dénoncer la garde auprès d’Ondolemar, nous n’aurons pas la possibilité de lui parler, et elle lancera une réplique désagréable à chaque fois que nous la croiserons. Si nous l’avons couvert, nous pouvons aller le lui dire et lui demander pourquoi a-t-elle agit ainsi. Si nous sommes ni altmer, ni bosmer elle nous répond n’avoir rien à dire aux gens de notre race et nous lancera une réplique désagréable à chaque fois que nous la croiserons. Si nous sommes altmer ou bosmer, elle nous remercie de ne rien avoir dit à Ondolemar, car elle aurait sans doute perdu son post s’il avait eu vent de son comportement. Elle s’excuse ensuite de la façon dont elle nous a traité. Elle avoue que depuis des années qu’elle a obtenu le post de garde personnel d’Ondolemar, elle tente d’attirer son attention, mais qu’il ne l’a jamais regardé, et que depuis que nous sommes là, il n’a d’yeux que pour nous. Elle nous assure ensuite que cela ne se reproduira plus et que nous avons de la chance, et que nous méritons cette chance. Elle nous prévient cependant que si nous venions à faire souffrir Ondolemar de quelques manières que ce soit, elle se chargerait elle-même de venir nous le faire regretter et de nous faire vivre cent fois chaque secondes de souffrance que nous lui aurons infligé. Un peu troublés, nous partons.
Il faudra ensuite trouver un dragon pour tester la dague sur lui, pour ensuite revenir voir Ondolemar et lui assurer que son expérience est un succès (à voir ensuite si nous gardons la dague ou s’il la récupère… je pencherais pour la première option, Ondolemar présentant ça comme un cadeau).

Nous partons ensuite. Si nous ne sommes ni altmer, ni bosmer ou si nous avons dénoncé la garde, un garde de Markath viendra alors nous dire à la sortie du fort que nous sommes en état d’arrestation pour tentative de meurtre. Nous nous offusquons et nions, mais il nous dit avoir un témoin de confiance affirmant le contraire. Nous voyons alors qu’il est accompagné de la fameuse garde et d’une justiciar du Thalmor à l’air fort satisfaites d’elles-mêmes. Nous sommes alors jeter dans la mine de Cidna dans la quelle nous passons une journée entière. Le lendemain, Ondolemar arrive alors, ordonnant aux gardes de la mine de nous libérer immédiatement. Au moment où nous allons sortir, un justiciar arrive :
Justiciar : Ondolemar, que se passe-t-il encore ? D’abord vous désobéissez aux ordres en allant vous-même affronter ce dragon, et maintenant vous vous opposez directement à une de vos consœurs en voulant faire libérer cette personne ?
Ondolemar : tout ceci n’est qu’une énorme méprise, cette personne est innocente. Les accusations portées sur elle/lui sont fausses, je suis prêt à en jouer mon honneur !
Justiciar : bien, faites le/la donc sortir puisque vous y tenez. Mais je vous préviens Ondolemar que si vous persistez à vous acoquiner avec cette personne, le Thalmor n’aura d’autres choix que de vous destituer de votre rang.
Sur ce, le justiciar s’en va. Ondolemar se tourne vers nous et nous demande si nous allons bien, se répandant en excuses pour cette horrible accident. Nous répondons par la positive, lui assurant que ce n’était en aucun cas sa faute. Il nous assure alors que si nous avons besoin de quoi que ce soit, nous n’avons cas demander. Nous le remercions et prenons congés.
Si nous sommes altmer ou bosmer et que nous avons couvert la garde, cet événement n’aura pas lieux.

Quelques jours plus tard, nous recevons un message d’Ondolemar nous demandant de venir le voir. Nous allons y allons donc. Là, Ondolemar nous dit être content de nous voir, et avoue s’ennuyer beaucoup, coincé à Markarth par ces obligations et que notre présence lui manquait. Au choix :
-lui dire que nous comprenons, rester toujours au même endroit loin de chez soit doit se révéler mortellement ennuyeux. Pour sa que nous sommes bien content de notre vie d’aventurier ! (Ondolemar acquiesce, mais n’ajoute rien. Fin de la romance)
-nous lui disons avoir repéré un dragon non loin et résolu d’aller le tuer. Nous lui proposons alors de nous accompagner, de venir combattre à nos côtés en souvenir de cet autre dragon que nous avons tuer avec lui. C’est avec joie qu’il accepte.
Il nous suivra ensuite jusqu’au prochain dragon que nous croiserons et tuerons. Il nous dira alors qu’il apprécie vraiment notre présence, accepterions nous de refaire la route avec lui jusqu’à Markarth ? Au choix :
-décliner l’offre, disant que nous pensons qu’il trouvera très bien son chemin tout seul. Ondolemar nous remercie alors (un peu froidement) du divertissement que nous lui avons apporter et s’en va (fin de la romance)
-nous acceptons, disant qu’il sera pour nous un plaisir de faire la route avec lui.
Arrivée à Markarth, Ondolemar nous répète alors apprécier notre présence, disant qu’il trouve notre compagnie plus qu’agréable. L’option de mariage se débloque alors. Que nous déclinions ou acceptions alors n’a aucune incidence, il agira comme les autres PNJ mariables, lorsque nous portons l’amulette de mara, le dialogue de mariage sera disponible.
Si nous avons vécu l’épisode de la prison, lorsque nous accepterons de l’épouser, le justiciar accostera alors de nouveau Ondolemar devant nous. Il lui dira alors qu’il l’avait pourtant prévenu, qu’il lui faudrait choisir entre nous ou ses obligations. Ondolemar répond alors qu’il nous choisit nous. Le justiciar répond que le Thalmor ne tolère aucune mésalliance de la part de ses membres, il se voit donc contraint de radier Ondolemar de ses fonctions. Ensuite, dès que nous nous retrouverons en dehors d’une ville et loin des gardes, la fameuse garde thalmor nous accostera. Elle nous dira alors que cela fait des années qu’elle essaye d’attirer l’attention d’Ondolemar sans qu’il la regarde et qu’il nous a suffit, à nous, d’arriver pour qu’Ondolemar n’est d’yeux que pour nous ! Elle nous attaque alors, essayant de nous tuer. Il faudra bien évidemment la vaincre et la tuer.