La Confrérie des Traducteurs

* Après avoir toussé
Du à tout ce souffre enfumé
La servante Dalphinus remercia
Et à la vue du "Patron" s’interrogea. *

" Je vous prie de croire, jolie félidé
Mon fidèle compagnon est bien dressé.
Quand au calme qui vous préoccupe tant
Ne vous inquiétez pas, il est obéissant.
Ainsi je peux vous certifier sur ma dignité,
Qu'il restera calme et non agité.
Je vous prendrais un peu d’hydromel
Ainsi que de l'eau dans une gamelle.
Pourriez vous me préciser combien je vous dois,
Que je puisse m'acquitter de la somme en bonne foi ?"

" Excusez moi, Tenancier, ne seriez vous point mort ?
J'ai la même vue aussi bien dedans qu'au dehors.
Ne portant plus que des os et n'arborant pas un gramme de peau
Êtes vous à même de boire ne serait ce qu'un verre d'eau ?
Si mes questions vous agacent, veuillez m'en excuser
Voir un squelette tenir une auberge a attisé ma curiosité."

Pour l'hydromel, c'est 75 septims la chope. Pour la gamelle d'eau, c'est bon, puisque ton louveteau est bien dressé. Petite précision, le patron n'est pas mort, il s'agit de La Mort en personne.

* Les 75 sous demandés déposés,
Dalphinus s'en alla vers l'entrée.

Rentrant dans l'auberge les bras chargés
Il trouva une chaise et décidé de s'y installer.

Se lovait dans ces bras un loup gris argenté,
N'arrêtant pas de frémir, tout apeuré. *

" Auriez vous un établi ou un grenier,
Afin d'y passer une douce nuitée
Avec mon compagnon canidé.
Vivant au jour le jour dans la forêt,
Au lit jamais plus je ne m'y habituerai.
Je vous payerais, soyez en assuré,
Juste pour cette nuit et jusqu'à la prochaine matinée.

Ainsi donc, La Mort elle même est votre patron ?
Comme le dit le dicton, "
Bien ma foi, cher Tenancier,
Comment doit on vous nommer ?
J'imagine que bien des noms vous portez
Et ceux, bien au delà de toutes les contrées. "

Le tenancier est un nom qui me sied Pour vous même et votre canidé si de la chambre vous ne voulez point, que direz vous de notre étable rempli de foin? Et même si personne ne me donnerais ce deuxième nom, veuillez bien croire que l'hospitalité je vous offre grace à mon statut de patron
Veuillez me pardonnez pour mes absences répétés.. Car gérer une foule d'âmes damnés n'est pas choses aisées!

*Prend les pièces et sert l'hydromel, tout en envoyant une pensée réconfortante au louveteau, par télépathie.*

Il y a l'étable, juste en dehors, puisque les chambres ne t'agréent pas. Elle est fort confortable, les montures de nos hôtes sont très bien traitées, *dit-elle en même temps qu'Alkage*.

**sur ces entrefaites arriva alors l'automate qui à son habitude ramenait toujours de pesants sacs remplis de choses diverse et variés que ses expédition l’amenait à découvrir, il posa donc ce sac à l'entrée ainsi qu'un ancienne arme Dwemer plus vielle sans doute q'un Dumner au plus vieux de sa vie, balayant alors la salle d'un regard mécanique il scruta le nouvel arrivant et souris à la bête qu'il portait dans ses bras.Saluant alors le Patron d'un geste de la main qui eu pour effet de dégager un nuage de vapeur il alla s'assoir sur une chaise*

Hola dame Qi pourriez vous me servir quelques rafraîchissement dont ma gorge aurait bien besoin, vous ne pouvez savoir combien ces vielles mines sont poussiéreuses !

Bien sûr, elianor. Mais comme d'habitude, en échange de ton or.

Tenez voila de l'or qui suffira à payer mes dépenses, servez moi donc je vous prie un alcool fort et une pinte de bière et donner également moi une chambre car vu le temps que nous avons je ne pense repartir ce soir.

*Elianor tend alors une bourse pleine ou se mêlent pièces antiques et or impérial*

Pas de souci, le compte y est. Voilà ta bière et une préparation assez forte, mais rafraîchissante, de ma composition.