La Confrérie des Traducteurs

Se levant et s'écriant:
"La mort!"

Non, la Mort, c'est le patron, donc pas en rapport avec lui.

*Un grincement se fait entendre dans les escaliers, puis Dar'Rashki apparaît. Il paraît en meilleur forme qu'avant. Il fit le tour de la salle d'un regard et s'attarda sur l'affiche.*
-Un concours d'énigmes ? Intéressant...
*Il prit place à une table, tâta sa bourse, soupira, et entreprit de fouiller ses vêtements miteux à la recherche de quelques pièces.*

Salut, Dar Rashki, bien dormi ?

Une arme ? mais elle se voit....

Non, ce n'est pas une arme.

Encore plus excité qu'à sa réponse précédente Tenzaku demanda:
"La fortune?"

Heu... non. Comme dit précédemment, ça peut être en rapport avec le patron, donc, c'est en rapport avec la mort.

-Oui, ça va. Les lits sont très confortables.
*Il finit par trouver quelques pièces traînant dans ses poches, les compta rapidement, et soupira*
-Est-ce que 15 pièces peuvent suffire pour disposer d'une bonne boisson ?
*Il réfléchit un peu l'énigme avant de dire d'un ton mal assuré*
-Mmmh... Serait-ce la parole ? Cela m'étonnerait fort, mais on peut toujours essayer...

Hum... C'est la deuxième ligne qui m'interpelle...
D'un côté une personne qui l'achète n'en a pas l'utilité,
d'un autre côté, celui qui l'utilise (qui ne peut ni le voir ni le sentir) il l'obtient comment ?
Sachant que quel que soit le moyen d'obtention, il l'utilise, ce qui est en contradiction avec la ligne précédente qui dit que ça lui est inutile.

Là, je pencherais pour un cadeau, quand on fait un cadeau, ce n'est pas pour soi.
Quand on achète un cadeau, c'est pas pour soi non plus, donc ça reste possible aussi.
Mais celui qui utilise le cadeau ne peut ni le voir ni le sentir...
Un cadeau encore dans sa boite ? (On ne peut ni voir le contenu, ni le sentir).