La Confrérie des Traducteurs

Au revoir, messire Tenzaku, je t'enverrai un message télépathique.

*Rentre d'un teins pâle, le rôdeur réapparaissant après une longue absence a l'air "bizarre", comme à son habitude il dépose son épée a l'entré ne gardant que sont bouclier. L'homme se rapproche du comptoir pose son bouclier près de sa chaise*

Bien le bonsoir dame Yu Qi, si possible j'aimerais une petite pinte de bière

*pose une bourse, contenant 75 pièce d'or*

Personnes ? tans pis ! je dormirai dans les écuries.

*sort reprend son armes et sort*

*A terminé la rédaction des énigmes pour la soirée indiquée par le patron, saute sur le rebord de la fenêtre et regarde la pluie tomber.*

*Le galop d'un cheval se fait entendre derrière le crépitement de la pluie. Peu après, la porte s'ouvre sur un Khajiit grommelant et dégoulinant. Ses yeux vert pâle montraient une grande fatigue, et son visage était émacié. Il portait une tunique sale et déchirée, et son pantalon ne valait guère mieux. À ses poignets pendaient deux bouts de chaîne brisée, accroché à des bracelets de fer, comme ceux que l'on met aux prisonniers. Il resta quelque temps sur le pas de la porte, hésitant à s'avancer plus et à répandre de l'eau partout dans l'auberge.*

*Voit le Khajiit hésiter sur le pas de porte*.
Salut Dar Rashki, ça fait un moment qu'on ne t'a pas vu. Entre vite et laisse la pluie et le froid dehors. Viens t'installer au coin du feu.

-Bonsoir Dame Qi.
*S'avance vers le feu d'un pas hésitant, et s’assoit à la table la plus proche*
-Mon cheval est dans l'écurie, et il est aussi en piteux état. Dois-je payer pour l'y laisser ? Ma bourse est bien légère...

Oui, surtout qu'il y sera soigné par le palefrenier. Mais que t'est-il arrivé ?

*Il redressa la tête, et la regarda avec ses yeux las.*
-Je dois encore me remettre de mes émotions. Je suis désolé, mais si cela ne te dérange pas d'attendre demain pour des explications, je crois que je vais prendre une chambre et aller me coucher.
*Il décrocha sa bourse bien maigre de sa ceinture, et grommela en comptant le peu de pièces qu'il lui restait*
-Que la Peste soit de ces Impériaux et leurs satanées lois... Enfin. Voilà de quoi payer la chambre.
*Il déposa 1000 pièces d'or sur la table, se dirigea vers l'escalier, murmura un "Bonne nuit" fatigué, et monta se coucher.*