Serait-il si aisé,
Pour un elfe décharné,
De mettre à exécution,
Des paroles de prévention?
Pourrait-il vraiment se souvenir,
De chacun de nos soupirs,
Qui plein d'un humour bancale,
De cet homme nous fais les vandales.
Ne serait-il pas plus aisé,
Pour notre elfe adoré,
De nous payer à boire,
Et par la boisson effacer ses déboires,
Tout en nous rappelant la fraternité,
Véritable valeur de son éternité?
C'était un assassin non? C'est pas rare les assassins qui entrent furtivement dans des bureaux où des sceaux sont négligemment posés...On va dire que l'auteur, fauché, s'est bricolé ça avec des croûtes de BabybelTM?...
Bref je ne t'ai pas oublié Moorelf (je peux juste pas trop trainer à l'ordi), pour ce qui est du livre regarde dans les textures et cherche celui que tu préfère... Puis dis-le moi et je t'enverrais ce qu'il faudra modifier.

(d'autres textes seront à venir quand je me sentirais inspiré et en forme.)
Un autre poème orc... Toujours du même auteur (nul ne sais ce qui se passait dans sa tête) mais ce texte fut retrouvé dans ses effets personnels.
A l'encre rouge ils on gravé mon âme,
Brisant ma confiance et ma volonté,
M'acculant dans ma forge et ses flammes,
Après avoir conduit à la mort ma bien-aimée.
Si la cruauté du destin est ainsi,
Si par les armes il me faut vivre et mourir,
Alors je renoncerais à ma vie,
Pour ne plus jamais qu'elle n'ai à souffrir.
Je ne l'avais pas écouté,
Cette impériale pacifiste,
Souhaitant à sa façon nous sauvé,
En regardant les monts de son regard triste.
S'unir à l'empire et l'aider,
Pour ne pas faire couler le sang,
Préserver nos vies dans l'unité,
Jamais doux mots ne furent si tentants.
Puissantes et tendres tentations,
Grandissantes dans nos coeurs,
Nous menant peu à peu dans l'union,
Enveloppant nos corps de douceur,
Alors que nos âmes mêlées,
D'un divin amour,
Sont restées enlacées,
jusqu'au dernier jour.
Avec deux vies elle est partit vers la mort,
Sourire aux lèvres et yeux fermés,
Elle à quittée ma chaleur pour le Nord,
Et par la guerre fut à jamais condamnée.