Gorn a écrit :Et maintenant la question qui tue, quelqu'un aurait t-il une meilleure histoire qu'une "troupe de nécromanciens infiltrés de la guilde des mages dérobant Serment du Chevalier à Monpotemarco pour l'empêcher de drainer son pouvoir démentiel et qui la scellent dans une dimension abyssale uniquement accessible grâce à un rituel sur les 3 autels de nécromancien répartis dans Cyrodiil, les mages réfugiés dans une grotte remplie de zombies qui ressurgit alors qu'elle avait disparu magiquement depuis des semaines, sont morts" ?
On demande un scénario tordu ? N'étant ni scripteuse, ni même moddeuse, je tente la "Question Qui Tue". Sais pas si ces propositions seront meilleures (ou même faisables), mais bon :
Et si un magicien/nécromancien essayait de capturer l'âme de celui qui allait devenir le Champion de Cyrodiil pour l'utiliser pour enchanter une épée ? Il se faufilerait auprès du PJ, alors que celui-ci dort, et hop ! Ni vu, ni connu, un bon petit rituel de derrière les fagots et l'âme serait capturée... Après tout, qui sait ce qui arrive, pour l'âme, une fois qu'elle est liée à un objet ? La gemme pourrait constituer un monde à part entière, avec son lot de mystères... Le but pour le PJ serait de comprendre ce qu'il s'est passé, et de trouver un moyen de sortir de ce mauvais pas. P'têt qu'il pourrait finir par parvenir à inverser les rôles et revenir à lui en gardant prisonnière de l'épée l'âme de cet inconscient de magicien. Epée que le magicien, désormais victime de son propre sortilège, aurait nommée lors de sa création "Serment du Chevalier", et qui lui réserverait encore bien des surprises...
Ou alors, plus sirupeux : L'histoire pourrait commencer avec une rumeur sur un nouveau mendiant extrêmement vieux rôdant à Bruma, et qui aurait à moitié perdu la tête... Après un interrogatoire bien mené, le PJ pourrait apprendre que ce vieil homme n'est autre qu'un fameux paladin dont on chantait les aventures, il y a de cela une vingtaine d'années. Son acolyte et lui-même auraient fait les quatre cents coups, depuis la classique libération de damoiselle en détresse à la moins coutumière recherche de drémora en vue de le ramener chez sa douce (bah quoi, 'faut bien qu'ils se reproduisent d'une manière ou d'une autre... Comment ça "parthénogenèse" ?). Mais voilà : au bout d'un moment, l'âge les aurait rattrapés. Ils auraient vieilli, sans s'en rendre compte, jusqu'au jour où l'un d'entre eux se serait fait gravement blesser. Au seuil de la mort, il aurait demandé à son vieux compagnon -qui aurait quelques talents de magicien- de lui promettre de capturer son âme et de l'utiliser pour enchanter une épée, afin que, même mort, il puisse continuer à lutter contre ce qu'il avait toujours appelé "le mal". D'où la création du Serment du Chevalier.
Une fois l'épée créée, le paladin, désormais seul, aurait repris sa vie aventureuse, en souvenir de son comparse, l'épée en main. Jusqu'au jour où, dans les montagnes, il se serait fait attaqué par un monstre hideux difficilement visible dans la neige (la matrone Ubberfylke, par exemple...). La bête aurait attaqué par surprise, désarmant le paladin, qui aurait tout juste eu le temps de fuir. Il serait revenu quelques temps plus tard, mais n'aurait pas réussi à retrouver l'épée et se serait alors rendu dans la ville la plus proche, déprimé, finir ses jours en paix. Il pourrait p'têt demander au PJ de partir à la recherche du Serment du Chevalier et de s'en servir dans ses pérégrinations, afin qu'il puisse continuer à tenir parole.
Ou alors une très bête : le Serment du Chevalier aurait été créée lors de la formation d'un nouvel ordre de chevalerie, au moment où tous prêtaient serment, afin de sceller leur pacte. Ils en auraient la garde chacun à leur tour, pendant une année, puis se réuniraient et la confieraient au suivant. Mais, à cause de leur vie aventureuse, les chevaliers auraient peu à peu disparu (certains se seraient casés, d'autres seraient morts, d'autres encore n'auraient plus donné de nouvelle), et à la dernière réunion de l'ordre, non seulement plus personne ne saurait qui avait la garde de l'épée l'année précédente, mais pire encore, l'épée (et son actuel porteur) aurait disparu. La quête serait de retrouver la trace des différents chevaliers de l'ordre et de retrouver l'épée. Quant à l'ordre lui-même, brisé par les suspicions mutuelles des chevaliers qui le composai
ent, se serait dissout de lui-même.
Ou alors une plus anecdotique : un chevalier (eh oui, encore), qui menait une lutte sans relâche contre un vieil ennemi puissant qui aurait quelques connaissances dans le domaine de l'enchantement des objets magiques, serait arrivé à un combat final. Au cours de ce dernier combat, le chevalier aurait été tué mais, au moment où se serait rendu compte qu'il n'avait plus aucun espoir de s'en sortir vivant, il aurait murmuré à son ennemi de toujours que même s'il perdait la vie, il débarrasserait lui-même Tamriel de la présence de cet être. Amusé par tant de présomption, l'ennemi du chevalier aurait lancé un sort de capture d'âme avant d'achever son adversaire d'un coup bien placé. C'est cette âme qui aurait servi à enchanter l'épée nommée alors "Glaive du Souverain" (un peu d'orgueil, ça ne peut pas faire tant de mal que ça, pas vrai ?).
Et l'ennemi aurait repris son chemin, vaquant à ses dangereuses occupations... Jusqu'au jour où, acculé à un mur, dans une ruine Ayléide, alors qu'il se battait courageusement, le Glaive du Souverain en main, contre une poignée de squelettes belliqueux, l'un de ses adversaires l'aurait désarmé, récupéré son arme et tué d'un coup. L'homme qui l'accompagnait, un mercenaire qui avait assisté au combat entre le Chevalier et lui (et qui avait assez roulé sa bosse pour savoir à quel moment une fuite devenait une solution stratégique tout à fait recommandable) aurait quitté précipitamment les lieux dès son client tué et serait devenu conteur. D'après lui, au moment où la lame donnait le coup fatal à son ex-client, la gemme rouge l'ornant aurait brillé comme jamais, comme si l'âme du chevalier avait poussé un cri de victoire. Depuis ce jour, cette épée maintenant légendaire est plus connue sous le nom "Serment du Chevalier", et il est dit qu'elle attend encore, dans les profondeurs d'une ruine Ayléide, qu'un porteur digne d'elle vienne la retrouver.
Pas d'autres idées pour le moment, désolée si rien ne correspond (en cas d'histoires trop niaises, mettez ça sur le compte de l'heure et de la fatigue

)
En tout cas, bon courage pour ton mod !