Bonjour a tous après une longue pause voici la suite je préviens tous de suite que warlord ne m'a pas aidé du tous sur la suite a cause du faite qu'il soit en internat actuellement :
J'ouvre les yeux.
La première chose que je remarque n'est pas la lumière, mais la puanteur. Les morceaux de cadavres, déjà putréfiés, servent maintenant de repas aux charognards...
Mes tripes se tordent, je me retient de vomir
mais c'étais plus fort que moi
Enfin...
Je réprime d'abord le flot immonde me venant aux lèvres, mais, révulsé, je ne peux que le laisser s'échapper. Une flaque vert-jaune se forme brutalement sur le sol, dégageant une odeur infâme et acide, se couplant avec les relents de pourriture de la bête.
Ma main en masque sur ma bouche, je court dans la caverne, en espérant trouver la sortie.
Il faut que je parte...
ça pue, ça pue De trop ! ça pue la mort et la charogne...
Putain que ça pue.
J'en peux plus..
Ca... Ca pue...
De plus en plus.
Ma vision se trouble... Bordel, qu'est-ce qu'il m'arrive ?
Je sent le sol se dérober sous mes pieds, et je m'effondre portant un regard à ma main...
Ça fait trop longtemps que j'ai pas mangé et il faut que je me bouffe un truc ou je vais y passer.
Je pose mon sac, l'ouvre, et cherche à l'intérieur...
Je prends le premier truc qui me viens sous la main: Une genre de pochette de plastique à la couleur de l'aluminium, rempli d'un truc gluant, j'essaye de lire les quelques lettres à moitié effacé écrient dessus :
Ration de combat.
Grimaçant de dégoût, je la sort... Va falloir se forcer.
Je déchire d'un geste nette l'enveloppe, et trouve à l'intérieur une genre de gelée vert-jaune un peu comme ceux a la pomme. Mais quelque chose me dit que ça ne va pas être aussi bon...
J'ouvre la bouche et laisse couler cette parodie de repas.
Infâme.
Juste infâme.
J'ai l'impression que mes papilles sont en train de pourrir, jamais rien goûté de plus dégueulasse.
Je ferme les yeux...
J'ai à nouveau envie de vomir...
Mais je me sent en pleine forme.
J'ai l'impression d'avoir pris une dose de stimulants de l'Astartes !
Je remet le sac sur mes épaules, et continue mon chemin d'un pas assuré.
Je ne sais pas si il y avait des narcotiques ou autre produit dans ma ration de combat, mais je me sent complètement insouciant.
Fredonnant l'air du 138e Cadien, je poursuit ma route dans les boyaux tortueux de ce qui semblent être une série de galeries souterraines...
Merci de votre lecture